Moins, Si C’est Bien, C’est Mieux*…

Réduire les trithérapies anti VIH SIDA à seulement 4 jours hebdomadaires - ou moins : 3 ou même 2 jours de traitement par semaine seulement - à raison de 2 à 4 pilules par jour, avec un VIH toujours sous contrôle, en dessous des seuils de détection…
Cette « prouesse » a été réalisée chez quelques 50 patients pendant une moyenne de trois ans et demi.

Ces observations sont publiées au 26 janvier 2010 par une équipe de médecins conduite par Jacques Leibowitch et collaborateurs de l’hôpital Raymond Poncaré de Garches dans le FASEB Journal, revue de bio-médecine de diffusion internationale à comité de lecture indépendant (www.fasebj.org/cgi/content/abstract…).
Réduction drastique des transmissions sexuelles, avec moins de médicaments mais plus d’efficacité, pourquoi, comment ?
c’est un espace de respiration et de liberté ressenties pour des personnes ordinairement soumises aux contraintes, physiologiques et psychologiques, imposée par le préjugé établi en la matière
Moins de médicaments pour un même impact anti VIH - y compris la réduction drastique des transmissions sexuelles du virus chez les patients sous médications effectives - c’est un espace de respiration et de liberté ressenties pour des personnes ordinairement soumises aux contraintes, physiologiques et psychologiques, imposée par le préjugé établi en la matière :
7 jours de traitement obligatoire par semaine, sans dérogation ni interruption. Moins de médicaments, n’est ce pas aussi à terme moins de toxicité… Un paquet de bénéfices susceptibles de lever quelques réticences en matière de traitements anti VIH.

Vertige des réductions dans les dépenses de médicaments : 150 jours en moins – et jusqu’à 260 jours – d’antiviraux annuels NON PRIS par les quarante-huitards de Raymond Poincaré !

Sur 5 années de traitements intermittents en cycles courts, ce furent 26 500 journées SANS traitement. La même conduite thérapeutique chez 480 000 Américains aurait généré 260 millions et 500 000 journées SANS anti VIH, au coût - non dépensé - de 12 milliards de dollars… Le consensus établi en matière de traitements anti HIV n’est pas prêt de s’évanouir pour autant.

Pour mettre les pendules anti HIV à l’heure des traitements intermittents
Pour mettre les pendules anti HIV à l’heure des traitements intermittents, il faudra un pesant de preuves savantes avant que le concept Intermittents, en Cycles Courts, les Anti Rétroviraux Restent Efficaces (I.C.C.A.R.R.E) trouve sa place dans l’arsenal thérapeutique académique.

Il y faudra des essais cliniques probatoires, conduits localement partout, là où le virus s’est installé pour le malheur des humains.

Lobbying politique et social.
Les producteurs promoteurs de ces essais s’y préparent : ils devront déployer leur énergie itinérante de façon renouvelée, faire acte d’activisme civil, de lobbying politique et social.

Il s’agira au finish de transformer ce premier essai enhardi en régulations neuves, spécifiant en bonne science des preuves qu’en effet : Less Anti HIV Drugs Is More… MOINS si C BIEN C MIEUX… Les médecins signataires de l’étude de Raymond Poincaré appellent à une conférence de presse le 2 Mars à l’hôpital Raymond Poincaré, Garches

Les cycles courts de médicaments antirétroviraux fournissent thérapie intermittente mais efficace :

une étude pilote chez les 48 patients avec l'infection à VIH chronique Jacques Leibowitch, Dominique Mathez, Pierre de Truchis, Christian Perronne et Jean-Claude Melchior Courriel contact : jacques.leibowitch@rpc.aphp.fr

La présente étude a évalué l'efficacité d'un traitement antiviral intermittent administré aux patients infectés par le VIH dans le cadre de réduction progressive hebdomadaire de médicaments. Quarante-huit patients ont été invités à réduire leurs médicaments antiviraux pour 5 jours consécutifs par semaine ; après qu'un contrôle sur l'activité du VIH a été établi, les médicaments antiviraux ont été coupées pour 4 jours consécutifs par semaine. Des 48, 39 puis réduit médicaments à 3 d et 12 de ceux entrepris éventuellement un calendrier de 2 jours par semaine. Statut clinique et immunologique et charge le VIH de plasma ont été mesurés à plusieurs reprises. Sans relâche, le VIH a été maintenu sous les niveaux de détection chez tous les patients sous deux schémas thérapeutiques 5 - ou 4-d/SEM, pour une moyenne de 56 ± 40 SEM/patient (schéma 5-d) et 84 ± 46 SEM/patient (schéma 4-d). Des 39 patients dans le cadre de régimes de 3-d, 35 maintenu un contrôle optimal sur l'activité du VIH pour une moyenne de 50 ± 32 SEM, comme l'a fait 10 des 12 dans le cadre de régimes de 2-d, pour 24 ± 10,5 wk. résumé le traitement 5D/SEM, plasma VIH est resté sous les niveaux de détection pour une SEM cumulatif et 8895 (170 patient-an). Aucun grand événement clinique liées au VIH a été signalé. et nombre de lymphocytes CD4 + et les pourcentages facilement augmentent au cours de la dernière valeur notée dans le cadre du cours de 7-d traitement. Échec virale a été documentée dans 6 des 48 patients: 4 sous un régime de 3-d/SEM, 2 sous un régime de 2-d/SEM. Tous les 6 patients avaient leur traitement rapidement la valeur retour à un régime de 7-d/SEM, résultant en un contrôle rapide sur la réplication du VIH. En résumé, schémas d'antirétroviraux intermittente supprimée optimale le VIH chez les patients prenant des médicaments antiviraux 5 et 4 d/SEM, ainsi que dans une proportion importante des patients sous 3 - ou 2-d/SEM antivirale schémas, réduire les dépenses et, éventuellement, toxicité des médicaments. Des essais cliniques comparatifs prospectives sont justifiées avant d'envisager de courts cycles hebdomadaires de médicaments antirétroviraux alternative dans la gestion des patients chroniquement infectées par le VIH. — Leibowitch, j., Mathez, d., de Truchis, P., Perronne, c., Melchior, j. c. Short cycles de médicaments antirétroviraux fournissent thérapie intermittente mais efficace : une étude pilote chez les 48 patients avec l'infection à VIH chronique.

Super nouvelle

[b]Plus d'infos ...[/b] Mer 20 Oct 2010 - 11:56 par Kristal

Administrées quelques jours par semaine, les trithérapies permettent de garder le contrôle du virus, selon un essai pilote conduit par le Dr Jacques Leibowitch à Garches.

Un rendez vous à ne pas manquer
Conférence de Jacques Leibowitch au CNAM ( Conservatoire National des Arts et Métiers )

Le mercredi 24 novembre 2010 (salle à determiner) :

15h-16h : Jacques Leibowitch (Assistance Publique, Hopitaux de Paris) présente "Intermittents, En Cycles Courts, Les Anti Retroviraux Restent Efficaces... Bienvenue en I.C.C.A.R.R.E." :
Je serai interressé de vous montrer les données, aussi réelles que peut l’être le réel : deux ou un jour de traitement anti VIH par semaine, sous quadrithérpies innovantes, et basta... Restent les explications, là, le dossier est assez vide pour vouloir le remplir de nouveaux savoirs... Vive la connaissance qu’on n’a pas, c’est sans doute çà la recherche motivante, non ? !

lien : http://www.cnam.fr/math/article.php3?id_article=365
Conservatoire national des arts et métiers
292 rue Saint-Martin
75003 Paris
Tél.: 33 (0)1 40 27 20 00
Amphithéâtres et salles de conférence
40 rue des Jeûneurs, Paris IIe

Reste à savoir si ce " séminaire" est ouvert au public ou non .

Questions à…
Dr Jacques Leibowitch, hôpital de Garches

Interview de mars 2008 sur la perspective d'un traitrement plus léger mais tout aussi efficace.
http://www.medecinews.com/778/la-piste-du-trois-jours-sur-sept.html

Jacques Leibowitch, son livre :
Le sida, c'est comme ça
Une éblouissante synthèse sur les recherches récentes qui obligent à rompre avec le "prêt à penser" dont le SIDA est aujourd'hui l'objet.
edition Plon prix FNAC 17, 10 €
Date de parution juin 2010

J'ai rencontré le professeur Jacques Leibowitch .
Le mercredi 24 novembre 2010 lors d'une conférence ou il mettait en relation ses recherches avec les études de mathématiciens chevronnés afin de déterminer une logique mathématique des effets observés par sa méthodologie de traitement dits"Intermittents, En Cycles Courts"
Le sérieux de ces résultats ne permet aucuns doutes. Ses patients se portent bien et reste avec une charge virale de moins de 50 u/ml.
Je ne peux vous communiquer plus de détails pour l'instant l'auteur de ce nouveau procédé de traitement qui utilise les mêmes molécules que les autres mais dans une combinaison qui lui est particulière ne désirant pas rendre public plus en avant ses recherches pour l'instant; il publiera prochainement lui même un ouvrage sur le sujet.
Je lui ai soumis mes préoccupations personnelles , il m'a conseillé de prendre rendez vous avec son service à l'hôpital Raymond Poincré à Garches en m'indiquant que le processus de réduction du nombre de prise de médicament était un processus progressif qui prenait un certain temps selon les cas rencontrés.
Voilà pour les dernières infos.
tortue

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