Préservatif, c’est pas une vie !
- Pour chercher un remède contre le sida, il faudrait qu’il y ait quelque chose à trouver.
- Le préservatif ne protège pas du Sida, l’abstinence non plus.
SIDA, L’IMPOSTURE
Le Sida est une affaire politique. Non pas une affaire médicale !
Voici quelques temps, un débat sur le préservatif à dégénéré.
Les uns, des sommités scientifiques (La science est une religion de remplacement) affirment que : « NON ! Le virus imaginaire ne passe pas à travers le préservatif ».
Les autres, des sommités religieuses affirment que : « OUI ! Le virus imaginaire passe à travers le préservatif ».
Que faut-il croire ? Ma pauvre dame ! À quel Saint faut-il se vouer ? En arriver à pareil niveau de débat, on se demande comment toutes ces sommités parviennent à dormir la nuit ?
La solution miracle Dans ce dédale de polémiques intellectuelles du vingt et unième siècle, on apprend qu’une association de lutte contre le Sida a, elle, trouvé la solution miracle. Ça marche !
En plus du préservatif, l’association fournit aux jeunes un contraceptif. L’association prétend que l’idée fait des miracles. On a la solution, il n’y a plus de problème. Vous voyez bien, c’est possible !
Pour ceux, ils sont nombreux, qui ne connaîtraient pas le début de l’histoire (Tout le monde n’est pas né dans les années 60-70). Il faut rappeler que le virus imaginaire est un virus intelligent. Le virus intelligent abandonne toute activité dès lors qu’il est confronté à un rapport sexuel procréatif.
Si l’on ne met pas la « capote », ça marche ! Cependant, il ne faut pas oublier la contraception. Le tour est joué.
Un retour en arrière de quelques années s’impose. Dans les premiers temps où l’on a commencé à s’inquiéter du Sida, les scientifiques, les vrais (Il y en avait encore à l’époque.) se sont penchés sur le problème.
Contrairement aux racontars des menteurs professionnels, la recherche ne se fait pas le nez dans les éprouvettes. Ni, les yeux rivés sur l’objectif d’un microscope électronique, à la recherche d’une belle image estampillée : « Virus de quelque chose ».
Le premier travail consiste à classer la maladie dans la bonne statistique de mortalité.
Ce qui est apparu immédiatement : La mortalité pour cause de Sida n’entre pas dans une statistique de maladie contagieuse. Ce n’est pas non plus une statistique de maladie sexuellement transmissible. Ce n’est d’ailleurs pas une maladie du tout.
La statistique de mortalité pour cause de Sida est une statistique d’empoisonnement !
Il restait donc à rechercher les causes de cet empoisonnement L’on est tombé en premier sur l’AZT. L’AZT était connu pour être un poison absolu. L’AZT sera appelé aussi : « Le Sida sur ordonnance ».
C’est ce qui explique que les symptômes du Sida n’apparaissent qu’après le début des soins, si début de soins il y a.
On remercie les menteurs professionnels, dont le premier métier est de se taire, pour avoir passé sous silence un phénomène déterminant aux Etats Unis.
Aux Etats Unis, on a constaté un nombre important de guérisons spontanées. Les « malades » n’avaient pas d’argent. Ils n’avaient donc pas les moyens de se procurer la précieuse médication.
Naturellement, pour que la guérison soit rendue possible, il fallait encore abandonner quelques vilaines habitudes comme : « L’usage de la drogue ainsi que certaines perversions sexuelles ».
À l’AZT que, soit dit en passant, l’on trouve dans la plupart des vaccins, il faudra aussi ajouter la drogue que l’on injecte directement dans le sang.
Il faudra ajouter également un bon nombre de produits médicamenteux que l’on absorbe par perfusion.
(Ce qui provoque le phénomène n’est pas le virus imaginaire à la pointe de l’aiguille, mais le produit qui est contenu à l’intérieur.)
À cela, il ne faut surtout pas ignorer le lubrifiant que les pédés utilisent lors de leurs rapports sexuels. Le lubrifiant transite dans le sang suivant le principe du suppositoire. Si le lubrifiant n’est pas en principe pathogène, il est suffisant pour déclencher le phénomène de rejet. C’est ce phénomène de rejet qui est repéré par le test. Etc.
Va sans dire que, depuis quelques temps, au grand dam de certains politiques, certaines sommités médicales préconisent l’abandon total de l’usage du suppositoire. Allez comprendre ! Qui a tort ? Qui a raison ? (Le Sida est une affaire politique. Non pas une affaire médicale.)
La manipulation Il ne reste plus qu’à faire une grande embrouille avec l’ensemble et de lier le tout avec un mot magique : « Truc-machin imaginaire ».
Le business est sur les rails. Dès 1982, on avait fait le tour du problème. Il n’y avait plus rien à trouver. La recherche était terminée ! Le grand business d’asservissement des foules pouvait démarrer. Le Sida se transmet par la bave des menteurs professionnels.
Un mot néanmoins à propos du sang frelaté
Le sang était bien frelaté, non pas contaminé. Ce qui n’est pas la même chose même si cela aboutit à un résultat identique.
Le Sida n’est pas affaire médicale mais une affaire politique. Les virus imaginaires ne ciblent que des cerveaux morts.
Quand on croit en des dieux imaginaires, on croit pareillement en des virus imaginaires.
Le test de sérologie ne démontre rien. Il démontre seulement qu’un organisme en bonne santé réagit normalement pour se débarrasser d’un intrus. Cela ne désigne pas un virus.
L’Afrique : Contrairement aux croyances imposées, l’avènement du virus imaginaire n’a en rien changé les chiffres de la mortalité.
La mortalité exceptionnellement en Afrique est due à un manque d’hygiène, à une croissance démographique incompatible, aux conditions climatiques qui génèrent de multiples parasites (Microbes, bactéries, Etc. Mais pas de virus).
Quand les journalistes affirment que 80 % des Africains sont séropositifs, les journalistes ont parlé pour ne rien dire. Mais, est-ce encore à démontrer ?
Conclusion : Dans cette poubelle d’obscurantisme du vingt et unième siècle que l’on doit encore et comme toujours aux curés, que l’on nomme : « Sida », le seul à avoir raison à propos du préservatif, c’est le Pape. N’est-ce pas un comble ? (Le préservatif ne protège pas du Sida.)
L’objectif de cette monstrueuse mascarade étant d’inciter les femmes à ignorer la contraception au profit du préservatif. Contrairement à ce les intellectuels affirment, Le préservatif ou le contraceptif ne produisent pas le même effet.
Les curés sont bien les seuls à en avoir pris conscience. Ils exploitent l’ignorance qu’ils ont instituée pour leur profit.
Définition d’un intellectuel Un intellectuel, c’est comme un crétin. Dès l’instant où il a compris quelque chose, il croit savoir.
« Quand on voit tous ces cons, on se demande comment on est allé sur la Lune ?
- Quand on voit tous ces cons, il n’y avait rien de plus facile. »
Vive la Croissance
De quoi se plaint-on ? Avec ou sans Sida, chaque jour qui passe, il y a 200 000 habitants de plus sur la planète.
Cela veut dire que les choses ne vont pas si mal que ça.
Pour les problèmes de l’écologie, du logement, de l’énergie, on aura bien le temps d’envisager cela plus tard.
Les curés affirment que 20 milliards d’habitants, c’est possible.
Et, si cela est possible, c’est l’objectif à atteindre (Au plus vite).
Le détail, il existe peut être un piège. Moralistes par devant, sans scrupules par derrière, les curés vivent de la misère qu’ils produisent.
Il ne faut pas rêver. On ne sait pas vraiment si 20 milliards d’habitants, c’est possible.
En revanche, on a compris que les 20 milliards d’habitants ne seront que : « Des cohortes d’individus asservis, drogués, malades, gavés d’imaginaires, de rêves, de croyances, d’ignorance et de mensonges ». (Des cerveaux morts asservis aux curés, un peu comme aujourd’hui.)