Sida, un petit mensonge ordinaire
Qu’elle soit cérébrale ou matérielle, la misère est le fondement de la société de l’argent ! (Le malade, l’industrie première.)
Il y a des GENS QUI RIENT. et des GENS QUI PLEURENT.
Un virus est un mot de cinq lettres pour tout faire comprendre à des gens qui n’ont pas besoin de savoir.
LA RECHERCHE
La recherche sur le virus du Sida n’aboutira jamais. On sait depuis toujours que le virus n’existe pas. Contrairement à ce que certains gagnent à faire croire, la recherche ne se fait pas dans des éprouvettes. Dans les années 1980, Luc Montagnier a commencé sa recherche en observant les chiffres et en analysant les statistiques. Le but étant de classer la maladie dans la bonne statistique de mortalité.
- La statistique du Sida n’est pas une maladie virale.
- Ce n’est pas non plus une maladie contagieuse.
- Ce n’est pas une maladie sexuellement transmissible.
- Ce n’est pas une maladie du tout !
La statistique du Sida est une statistique d’empoisonnement !
Il ne restait plus qu’à rechercher la cause, plus exactement « les causes », de cet empoisonnement et, dès les années 1980, Montagnier avait conclu la recherche sur le Sida.
C’est ainsi qu’à l’époque, il avait dénoncé et expliqué l’imposture du virus. (On attend encore les journalistes.)
Il ne restait donc plus rien à découvrir. (Sauf de l’argent au profit des curés, naturellement.)
À trop bien voir l’imaginaire, on ne distingue plus le palpable. - 1) Les pédés :
Lors de leurs rapports sexuels, le lubrifiant utilisé par les pédés transite dans le sang suivant le principe du suppositoire. Ce produit est suffisant pour engager une réaction de rejet par l’organisme. C’est cette réaction que le test va repérer.
(Les pédés imaginent parfaitement un virus qui n’existe pas. Inversement, les pédés ne voient pas le produit tout dégueulasse dont ils ont plein les doigts.)
- 2) La drogue :
Ce qui empoisonne, ce n’est pas le virus imaginaire à la pointe de l’aiguille. C’est le produit qui est dans la seringue.
Naturellement, qu’il soit du public ou du privé, un enseignant vous dira que non ! La drogue n’est pas dangereuse. Il suffit d’utiliser une seringue neuve lors de chaque injection.
Il faut préciser que la drogue est un excellent complément aux croyances et aux religions pour l’asservissement des foules.
(D’ailleurs, ce sont les curés qui sont à l’origine et qui financent les mouvements qui réclament la légalisation de l’usage de la drogue.)
- 3) Le scandale du sang frelaté : Le sang était bien frelaté. Non pas contaminé, ce qui n’est pas la même chose même si le résultat est identique.
Un journaliste vous répondra qu’il n’y comprend rien, que son travail est d’informer. (Allez-vous faire foutre !)
Tout au long de son procès, le bon docteur GARRETTA va garder le silence sur ce qu’il ne peut ignorer. Au final, GARRETTA, à qui l’on attribue la responsabilité de plus d’un millier de morts, sera récompensé par la Légion d’Honneur.
- 4) AZT, le sida sur ordonnance :
On ne revient pas sur ce sujet.
- 5) Attention aux vaccins Chaque vaccins contient une petite dose d’AZT. Il est fortement déconseillé de faire un test dans les jours qui suivent une vaccination. (Le test sera forcément positif. Certains se sont suicidés.)
- 6) Etc. Tout cela pour démontrer quoi ? Tout cela pour dire que le Sida n’existe pas en termes de maladie. N’en déplaise aux curés et à leurs cohortes de cerveaux morts, à ce jour il n’existe encore aucun cas connu de transmission du Sida par l’acte sexuel.
Le Sida est un virus de curé qui se développe dans la poubelle médiatique pour cibler les cerveaux morts.
L’intérêt Pour les curés, l’intérêt est d’inciter les femmes à abandonner la contraception au profit du préservatif. Pourquoi utiliser la contraception puisqu’il faut mettre un préservatif ?
Le résulta n’est pas le même. La chose se traduit par un nombre considérable de grossesses non désirées qui aboutissent, selon certains, à 200 000 avortements par an et à une surchauffe de natalité dans les milieux modestes. (Les curés vivent de la misère qu’ils produisent. Ils gagnent à pourrir la vie de tous.)
Au passage, c’est en observant les chiffres des avortements et de la natalité que l’on démontre que le virus n’existe pas et que le Sida n’est pas sexuellement transmissible. (Le Sida cible presque exclusivement des personnes dont l’acte sexuel n’est pas procréatif.)
Les associations de luttes contre le Sida, ensemble contre le SIDA Une mentalité de voleurs. Peu importe les victimes. L’important c’est l’argent. De l’argent public volé au détriment des plus modestes et des vrais malades.
Un grand nombre de personnes sont, aujourd’hui, confrontées à de graves difficultés financières à cause des milliards d’argent social soustraits dans les caisses publiques par ces escrocs sans scrupules.
Pour finir, Il existe un moyen simple pour se convaincre de l’imposture du Sida. Il suffit de soulever le couvercle de la poubelle médiatique et d’écouter ce qui en sort.
On ne parviendra jamais à imaginer le nombre de gens qui se sont ruinés l’existence et qui ont ruiné l’existence des autres à cause de ces virus de curés.
Le virus imaginaire du Sida ne cible que les cerveaux morts. On pourrait donc en conclure que cette imposture n’est pas si grave. D’ailleurs, c’est certainement ce que pensent les grands truands qui dirigent ce monde.
Il faut se détromper. À eux seuls, tous ces sidaïques pompent chaque année des milliards d’euros dans les caisses sociales. Autant d’argent qui ne profite ni aux vrais malades ni aux vrais handicapés.