Article de presse suite à cette conférence :

Remède Malgache qui soigne les séropositifs, malgré toutes les menaces contre nous, pour SIDAVENTURE la lutte continue !!!

Empoissez nous ! Ne nous dite rien ! Bouffon des OGM, de l'aluminium, des vaccins, de l'amiante, du nucléaire recyclé, des édulcolorants chimique, du fluor chimique et j'en passe ! Allez y foutez nous de notre gueule, rangez le dossier douteux dans le tiroir le plus longtemps possible l'information à la santé est inutile ! Ce qui compte c'est le profit toujours le profit ! Mais quel société mafieuse de merde. A ce sujet la les newagistes sont aussi des sortes de lobbyistes de merde dont j'ai envie d'étrangler un par un jusqu'au dernier à force de les entendre ceux la ! Combien de temps il a fallu avant de divulguer les danger de leurs poisons, combien de malades a t'il fallu pour dire la vérité sur ça ou sur un tas de choses, combien va t'il en falloir encore sur tout un tas d'autres sujets ?
Toute cette magouille est maintenant claire comme de l'eau de roche ! Mais cela ne s'arrêtera pas si la population ne réagit pas : demande de compte, boycott et autonomie médicale càd... prendre soins de sois pour ne pas tomber malade, apprendre les remèdes efficaces et sans dangers et surtout éduquer les enfants sur comment maintenir une bonne santé.
C’est grave tout ça !!! vive le SIDA , c’est bien et bon pour la France !!!!
Se sont des criminelles (légale) en blouse blanche. Est ils continuent. Avec la h1n1.entre autre.

Copie de l'article:

Nicol Ramarovahiny : « Ampamoaka » après la prison

Vendredi, 30 Juillet 2010 00:00

Deux semaines après sa sortie de prison, le chercheur Ramarovahiny Nicol était monté au créneau pour prendre sa revanche contre Zaranaina. En fait, la conférence de presse d'hier n'est que le rattrapage de celle qu'il a ratée le 10 juin dernier, jour de son placement sous mandat de dépôt. Ramarovahiny, celui qui a découvert JMAR1, la formule dont l'efficacité pour guérir un homme atteint du virus du Sida a été démontrée lors d'un essai clinique effectué à l'île Maurice, a vidé son sac. « Je considère les agissements de Mr Zaranaina comme un acte qui vise à saboter un grand projet humanitaire. Je porterai plainte contre Zaranaina pour dénonciation calomnieuse et diffamation publique», a-t-il prévenu. Avantages considérables. L'occasion a permis hier au chercheur Ramarovahiny Nicol de révéler que le gouvernement mauricien lui a proposé des avantages considérables pour qu'il mette à la disposition des mauriciens le fruit de ses recherches, mais il a refusé. « Je préfère d'abord faire bénéficier mes compatriotes de mes connaissances », a-t-il expliqué. Avant de lancer un appel à l'Etat malagasy et au peuple malagasy de le soutenir pour qu'il puisse mener jusqu'au bout les différents essais cliniques permettant à sa phytothérapie de devenir un médicament anti-Sida. « Le test d'efficacité et d'innocuité a été déjà effectué à l'île Maurice.jJentends entreprendre un deuxième essai clinique avec l'appui du gouvernement malgache qui a reconnu mes travaux à travers le ministère de la Santé », a rappelé Ramarovahiny. Fierté nationale. Zaranaina a porté plainte contre Ramarovahiny pour avoir volé ses formules ZAR1, ZAR2 et ZAR3. Une plainte qui a renvoyé en prison ce dernier le 10 juin 2010. La justice a rendu son verdict. L'inculpé a bénéficié d'un non lieu un mois après son emprisonnement. Désormais, c'est au tour de Zaranaina de se défendre devant la barre en prouvant qu'il n'a commis ni dénonciation calomnieuse, ni diffamation publique contre la personne de Ramarovahiny. En tout cas, on attend le geste du gouvernement malgache devant l'appel lancé par Nicol Ramarovahiny dont le succès retentit dans le monde entier et suscite chez les Malgaches un sentiment de fierté.RAJAOFERA Eugène

http://www.midi-madagasikara.mg/index.php/component/content/article/3-societe/3946-nicol-ramarovahiny--l-ampamoaka-r-apres-la-prison

02/08/10 : Interview de Jean Guilano Ramarovahiny sur le remède contre le sida

Après sa libération après un non lieu, Jean Giuliano Ramarovahiny a donné une conférence de presse ce jour au Colbert. Lors de cette rencontre avec la presse, il a fait un état de lieu de ses recherches. Interview.


Après votre arrestation, comptez-vous toujours continuer vos recherches ?
J’aime ma patrie, j’aime les malgaches et les recherches que j’engage, je les dédie à mon pays et aux malgaches. L’incident (le séjour en prison) que j’ai rencontré ne m’arrêtera pas dans mes recherches car ces recherches sont très importantes pour nous, les jeunes, nous malgaches et pour l’humanité. Des essais cliniques ont été effectués. Parmi les patients que j’ai traité, il y avait eu des hautes personnalités à qui les dossiers sont confidentiels seules 7 personnes sont accessibles.

A cette phase de vos recherches, qu’est-ce qu’il vous faut ?
Pour la deuxième phase de la recherche, que le ministère vient d’accorder, il faut 200 essais cliniques avec un taux de réussite de 60%. Le coût de la recherche peut aller de 5 à 8 millions de dollars. Et avec cela, il faut aussi un compteur à charge virale, un appareil servant à analyser le sang des patients. Le cas échéant, il nous faut évacuer le sang des patients avant le traitement et après le traitement. Cet appareil coûte cher – je ne me prononcerai pas sur le prix – nécessitant un investissement de l’Etat. C’est pourquoi je fais appel à tous car les résultats de ces recherches seront bénéfiques pour le pays et les malgaches.

Quelle garantie disposerait le patient en face de votre remède ?
En 2007, les malades du Sida que j’ai traités n’ont pas confiance au remède que j’ai présenté. Et donc, j’étais amené à consommer le remède, deux fois cette année là, pour leur donner l’assurance que je ne leur propose pas de poison. Et comme vous voyez, je suis en ce moment en bonne santé. Et puis, la particularité de ce remède, la JMAR, elle est aussi un fortifiant, tout le monde peut en prendre, même s'il n'est pas atteint du Sida. Et les patients à qui j'ai traité ont émis un lettre de consentement éclairé.

Si l’on vous propose de vous injecter le virus et vous allez vous soigner avec la JMAR par la suite comme ce qu’il a proposé Zaranaina. Feriez-vous cette expérience ?
Non. C’est une plaisanterie. Je ne pense pas que vous répondiez à une telle proposition, s’injecter du virus et se soigner, même en sachant qu’il y a un remède contre la maladie. C’est interdit par la loi mais je n’ai rien à cacher. Les démarches que j’entreprends peuvent être assisté partant du début du traitement jusqu’à la fin. Pour l’attaque de M Zaranaina, il faut juste que nous passons les extraits de nos produits chacun à la chromatographie et on verra s’ils sont similaires ou différents.

Par rapport aux tractations que vous aviez lancé, où en êtes vous actuellement ?
Actuellement, j’ai déjà l’appui de quelques opérateurs dans ce processus. Toutefois, il me faut l’aide de tous car les résultats de mes recherches resteront une richesse pour les malgaches, pour Madagascar. Pour l’instant, la forme de mon produit est à sa forme phytotérapeutique. C'est-à-dire qu’il n’est pas encore vendable en pharmacie. Par contre, il est justifié actuellement qu’il supprime le virus du VIH/Sida. Pour le traitement par ARV ou anti retro vitro, le coût du traitement est de 9.000 euros par an à vie car les patients deviennent dépendants. Mais disons pour un traitement par JMAR, le traitement ne peut dépasser les 10.000 euros pour un traitement : le malade après traitement sera soigné. Si les malades enregistrés sont au nombre de 30 millions dans le monde et issu des résultats de mes recherches, si nous pouvons soigner qu’un million de malade uniquement, à vous de calculer ce que nous pouvons gagner. Quant j’étais à Maurice, les mauriciens ont prévu un grand hôtel et ont pensé lancer le tourisme santé pour vous dire à quel point le projet est immense.
Recueillis par Prisca R



http://www.sobika.com/v2/interview/2010/ramarovahiny_sida.php

http://www.tananews.com/tag/ramarovahiny-nicol-giuliano/

Le phytothérapeute Ramarovahiny Nicol Giuliano, découvreur du remède JMAR contre le Sida compte bien contre-attaquer après avoir été relaxé par le tribunal. A sont tour, il a déposé une plainte pour diffamation et diffusion de fausses informations, contre le Pr Zaranaina. Ramarovahiny Nicol Giuliano déplore également le préjudice causé par le procès intenté contre lui. Il va falloir, dit-il entreprendre de nouveaux lobbying pour trouver des partenaires financiers, car le médicament JMAR nécessite un budget de 8 millions de dollars pour être utilisable à grande échelle. C’est à cet effet que ce phytothérapeute lance un appel à l’Etat malagasy, pour qu’il n’ait pas à revendre ce projet aux étrangers, venus lui proposer leur offre. JMAR a pu guérir une dizaine d’individus atteints du Sida à l’Île Maurice, et la phase de test enchaînera avec quelque 200 sidéens malgaches

Giuliano Ramarovahiny: La revanche après la galère

Vendredi, 30 Juillet 2010 06:06

Selon toutes vraisemblances, il veut chercher sa revanche. Car il se sent profondément touché par les agissements de son adversaire qui, récemment encore, avaient entraîné son emprisonnement. Et pourtant, « il était surtout question d’un projet tellement humanitaire », a-t-il précisé dans son discours lors d’une conférence de presse qu’il a donnée hier à l’Hôtel Colbert, à l’occasion de sa sortie de prison. Mais cette revanche, Jean Giuliano Nicol Ramarovahiny, puisque c’est de lui qu’on parle, veut l’avoir de la façon la plus intelligente et la plus savante possible. Ce fut également l’occasion pour ce jeune chercheur malgache d’afficher au grand public sa ferme intention, ainsi que celle de ses collaborateurs, d’aller toujours de l’avant quant à la poursuite des expérimentations, essais cliniques, et autres recherches sur le JMAR1. Cette fameuse formule qui, selon lui, pourrait aboutir à la découverte d’un remède efficace contre le virus du Sida. Une formule qui se trouve à l’origine du conflit l’opposant depuis quelques années à Zaranaina Christian, autre jeune chercheur malgache qui prétend, lui aussi, détenir la potion magique contre cette maladie jusqu’ici incurable. Ayant bénéficié d’un non-lieu le 16 juillet dernier mais préférant garder le silence à propos de la durée de son emprisonnement, Ramarovahiny a pourtant fait savoir qu’il va, à son tour, porter plainte contre Zaranaina « et pour diffamation, et pour avoir saboté ce projet humanitaire », comme il aime à répéter. « Mon combat ne sera pas vain », a-t-il déclaré hier. Mais pour que ce combat ne soit vraiment pas vain, Ramarovahiny attend de tout un chacun – « car personne ne peut prétendre être à l’abri du Sida », a-t-il souligné – un esprit coopératif afin de faire avancer plus rapidement les recherches ainsi que les différentes étapes à suivre dans le cadre de la poursuite du projet. Curieusement, on se demande si une collaboration avec son adversaire le tente, vu la nature des relations qui existent en ce moment entre les deux hommes. « Je suis prêt à travailler avec tous ceux voulant participer activement et positivement dans cette entreprise », a affirmé le jeune chercheur à ce sujet. Seul bémol, il estime, un sourire qui en dit plus sur ses intimes intentions aux lèvres, que « s’inoculer de la maladie du Sida comme le souhaite Zaranaina relève de l’enfantillage ». Tout en précisant que « JMAR1 n’est pas encore parfait pour le moment », Ramarovahiny déplore, pour ainsi dire, le manque de budget, mais aussi de matériels appropriés pour pouvoir poursuivre ce projet qu’il qualifie d’atout national « car pouvant contribuer à faire la renommée de Madagascar sur le plan international dans le cas où il aboutit à de bons résultats ». A en croire à ses dires, le ministère de tutelle a déjà donné son feu vert ; le projet peut donc passer au stade suivant. C’est-à-dire à la deuxième phase de l’essai clinique qui, toujours d’après Ramarovahiny, nécessite un budget de 5 à 8 millions de dollars, mais aussi le concours de 200 patients. Comme ce dernier a bien l’intention de rester au pays pour poursuivre son projet, il estime qu’il serait dans l’intérêt de l’Etat malgache de se doter de la machine à compteur de charges virales. « Il s’agit d’un outil performant pour le suivi et la vérification de l’état des patients sous traitement », a-t-il expliqué. Andry Drouot

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