sida, sidaventure, vih, vhc, info sida, forum sida, information sida, prevention sida, forum vih, t'chat sida, tchat sidaSida, soutien pour l'oublié du Nobel de médecine, Jean-Claude Chermann
Sida, soutien pour l'oublié du Nobel de médecine, Jean-Claude Chermann. Jean-Claude Chermann, chercheur français en virologie, faisait en effet partie de l'équipe de Luc Montagnier à l'Institut Pasteur lorsque le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) à l'origine du sida sera découvert en 1983.
Jean-Claude Chermann est le co-découvreur du virus du sida, au même titre que les deux chercheurs français Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier, qui se sont vues décerné la titre suprême, le prix Nobel de médecine.
Un comité de soutien vient de voir le jour en faveur du professeur Chermann, l'un des trois co-découvreurs du virus du sida. De plus, suite aux deux prix Nobel de médecine, la communauté scientifique française demande au gouvernement davantage de financements dédiés à la recherche sur le sida.
Jean-Claude Chermann, chercheur français en virologie, faisait en effet partie de l'équipe de Luc Montagnier à l'Institut Pasteur lorsque le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) à l'origine du sida sera découvert en 1983. désormais il travaille dans la société URRMA.
Jean-Claude Chermann qui faisait partie de l'équipe de Luc Montagnier à l'Institut Pasteur, lorsque le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) à l'origine du sida sera découvert en 1983, n'a pas recu de prix Nobel de médecine.
La mission d’URRMA R&D est de développer une licence de l’INSERM dans le domaine du VIH/SIDA, et notamment d’amener sur le marché la technologie “R7V”. Cette technologie est basée sur la découverte par le Pr Chermann d’un peptide nommé R7V, présent à la surface du VIH et induisant la production d’anticorps anti-R7V protecteurs chez les patients infectés par le VIH mais ne développant pas de SIDA (patients non progresseurs).
Retour plus de 20 ans en arrière : c’est en décembre 1982 que l’aventure de l’isolement d’un virus alors inconnu - et dont on ne sait encore qu’il sera à l’origine d’une redoutable pandémie - démarre à l’Institut Pasteur.
Selon l’Institut Pasteur, c’est « en 1982, après avoir essayé en vain d'assimiler ce supposé virus à tous ceux connus jusqu'alors, » que Willy Rozenbaum, clinicien français qui travaillait alors à l'Hôpital Bichat, était certain de se trouver devant un virus d'un tout nouveau genre.
À cette époque, il essaiera à l'Hôpital Pasteur via une conférence sur ce nouveau syndrome d'immunodéficience, de convaincre des virologistes de l'Institut de venir travailler avec lui sur cette infection d'origine inconnue. Mais personne ne répondra à son appel.
Françoise Brun-Vezinet, qui travaille avec lui en tant que médecin-virologue, lui proposera alors de contacter des enseignants du cours de rétrovirologie qu'elle avait suivi à l'Institut Pasteur, à savoir Jean-Claude Chermann, avec lequel Françoise Barré-Sinoussi travaillait à l'époque comme chercheur Inserm, et Luc Montagnier. L’équipe des découvreurs du virus du sida était donc en place, mais seuls d’entre eux se verront décerner le prix Nobel de médecine, 26 ans plus tard.
Les premiers cas de Sida ont été décrits aux Etats-Unis, en 1981. A cette époque, on ne parlait pas encore de sida (Syndrome d'Immunodéficience Acquise) pour décrire ce nouveau syndrome d'immunodéficience inexpliqué qui portait alors plusieurs autres noms, dont celui de " gay syndrome ", car le virus fut initialement identifié chez des homosexuels.