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 Peut-on faire confiance aux médicaments ?

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sidaventure
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12092009
MessagePeut-on faire confiance aux médicaments ?

PEUT-ON FAIRE CONFIANCE
AUX MEDICAMENTS ?


Voici quelques-unes des perceptions de l’opinion. Le plus souvent, il s’agit d’interrogations soulevées par l’actualité, par des décisions pas toujours suffisamment expliquées et qui expriment des inquiétudes ou des doutes générés par la méconnaissance d’un sujet très complexe. Doutes d’autant plus légitimes que le médicament touche à ce que les Français ont de plus cher : leur santé et celle de leurs proches.


« Les notices sont incompréhensibles… »
« Les effets indésirables graves dans les essais cliniques sont cachés ! »
« Des médicaments autorisés deviennent “mortels” du jour au lendemain… »
« Experts, autorités, médecins, Etat, industrie… Tous ces acteurs sont juges et parties ! »
« Certains médicaments ne servent à rien. La preuve, ils sont déremboursés ! »
« Gagner 1 ou 2 mois de survie, est-ce vraiment cela l’innovation ? »
« L’industrie en fait trop ! Elle est là pour produire ses médicaments, c’est tout ! »
« Pourquoi certains médicaments rendent malades, alors qu’ils sont censés soigner ? »
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Peut-on faire confiance aux médicaments ? :: Commentaires

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Re: Peut-on faire confiance aux médicaments ?
Message Mer 16 Sep 2009 - 14:29 par chloe38
Personnellement je refuse la tri tant qu'elle sera telle qu'elle est actuellement, avec tous ces effets secondaires.

Nous avons de la chance par rapport aux année 80 où l'AZT a été distribué PUR (!!!!) aux séropositifs (phénomène étrange les années 80 ont été les plus mortelles du au SIDA (??) je me pose la question...) alors qu'il avait été INTERDIT DE VENTE en France dans ces mêmes années après avoir servi à "Soigner" les cancéreux.
Toutes les souris de labo sont mortes lors des essais de l'AZT, la France a donc interdit ce produit. Mais les industries pharmaceutiques en ayant produit en masse en pensant avoir trouvé la solution au cancer, le VIH/SIDA est quand même sacrément tombé au bon moment pour la redistribution de ce produit....

Aujourd'hui il est donné à dose plus infime, avec d'autres médicaments, dont un qui en atténue les effets secondaires (lol ?).

Je respecte tous ceux qui ont choisi la trithérapie, et tous ceux à qui ça fait du bien.
Personnellement je suis contre, ce n'est que mon avis, et je préfère mourir conne plutot que tuée par cette chimiothérapie....

Amicalement

Chloe
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Re: Peut-on faire confiance aux médicaments ?
Message Mer 16 Sep 2009 - 15:13 par Asmodisis
Salut,

Je trouve ton témoignage intéressant.

Je respecte aussi ton point de vue, j'ai passé 16 ans de ma vie à refuser de prendre des tri, même l'idée me faisait suffoquer...jusqu'au jour ou je me suis retrouvée avec 36 T4 et une toxoplasmose cérébrale.
Je me rends compte aujourd'hui que je me faisais une fausse idée des effets secondaires (car mal informée par les médias qui en rajoutent des masses) mais si je t'écris là a l'instant T je peux dire que c'est grâce a la tri sans laquelle je ne serai plus de ce monde.
Quant aux effets secondaires je touche du bois je n'en ai jamais eu...Pour ce qui est du long terme ça va etre soit tu meures d'une maladie opportuniste soit tu prends des chimies qui forcément te feront du mal mais te tiennent en vie.
avatar
Re: Peut-on faire confiance aux médicaments ?
Message Ven 18 Sep 2009 - 10:00 par illusion
quand on voit que l'azt est un donneur de monoxyde d'azote NO et que les fonctions immunitaires sont réglées par ce gaz. on comprend mieux pourquoi les années 80 ou il a été distribué en quantité massive ont été dévastatrices!!!

Pour information:
Une brève réponse aux questions soulevées par le Président
sud-africain Thabo MBEKI à la rencontre des spécialistes du SIDA à
Prétoria les 6 et 7 mai 2000.

QUESTIONS

1. Quelles preuves y a-t-il que le VIH soit la cause du SIDA, et
quelles sont les conséquences de l’apparition de symptômes et de leur
diagnostic ?
2. Quel rôle un traitement peut-il jouer dans les pays en développement ?
3. Comment prévenir le VIH/SIDA ?
CONSIDERATIONS PRELIMINAIRES
Le monoxyde d’azote (1)

Pour la première fois en 1987 la preuve fut faite
par Furchgott et Ignarro (prix Nobel 1998) que les fonctions
cellulaires de l’organisme humain étaient contrôlées par le monoxyde
d’azote (NO, nitric oxide). On démontra au cours des années qui
suivirent que les cellules immunitaires éliminent les germes pathogènes
à l’intérieur de leur cytoplasme en produisant un gaz, le monoxyde
d’azote. On découvrit qu’il existe 2 types de cellules immunitaires :
celles (type Th1) qui produisent du NO et ses dérivés et celles (type
Th2) qui n’en produisent pas mais stimulent la formation d’anticorps
afin d’inhiber les germes pathogènes extracellulaires (2).

Ces découvertes révolutionnaires ont fait que
beaucoup de théories considérées jusqu’alors comme correcte ont dû être
révisées, les phénomènes immunitaires pathologiques interprétés comme
des conséquences de l’ " infection VIH "(3), conformément aux théories
immunitaires qui prévalaient jusqu’ici, peuvent maintenant grâce à ces
recherches nouvelles, être expliquées de façon cohérente et sans devoir
invoquer une " infection VIH " .Ces nouvelles découvertes justifient
tout à fait les questions critiques du Président MBEKI sur le VIH/SIDA
et ont des effets considérables en ce qui concerne la médecine, la
société, la politique et l’économie.

Il faut qu’il y ait équilibre entre les cellules
immunitaires productrices de NO et celles qui n’en produisent pas. Cet
équilibre entre l’immunité cellulaire et l’immunité dite humorale par
anticorps peut être pertubé par des facteurs infectieux ou non
infectieux qui tous deux peuvent mener à une immunodéficience acquise
cellulaire (SIDA). Une hyperstimulation (trop longue ou trop forte) des
cellules immunitaires productrices de NO mène à l’épuisement de ces
cellules et l’inhibition de la production de NO qui en résulte est
compensée par une activité accrue des cellules productrices
d’anticorps. Il s’ensuit que les microbes intracellulaires tels que
mycoses, parasites, mycobactéries et virus (germes de maladies
opportunistes), qui normalement seraient éliminés sans symptômes par le
gaz NO cytotoxique, se développent sans limites dans les cellules. Ce
sont ces maladies opportunistes qui caractérisent cliniquement le SIDA.

La respiration aérobie de certaines cellules peut
être bloquée par un excès de production de NO et par les phénomènes
d’adaptation biologique qui s’ensuivent. Ces cellules peuvent alors
adopter un mode de production d’énergie indépendant de l’oxygène. Cela
peut mener à des formations tumorales et ce phénomène était déjà connu
en 1924 (phénomène de Warburg) ; actuellement on peut l’expliquer grâce
à ces découvertes sur le NO. Pour la même raison des cellules nerveuses
et musculaires peuvent souffrir de dégénérescence si leur respiration
aérobie est perturbée.

Groupes à risque en Occident


Le SIDA, au sens habituel, est une maladie rare en Occident : 0,001 à 0,002% de la population est atteint annuellement.

La plus grande part des patients SIDA se retrouvent
parmi les homosexuels masculins du type " récepteur ". Dans ce groupe à
risque, les causes principales d’hyperstimulation NO sont :
l’inhalation de nitrite d’amyle (poppers) utilisé pour faciliter la
pénétration anale, l’abus d’antibiotiques dont les produits de
catabolisme sont le NO et des nitrosamines, l’absorption de protéines
étrangères (résultat de coït anal non protégé) qui induit une
surproduction de NO analogue à celle causée par les protéines
antigéniques microbiennes, et enfin les toxines antigéniques dues aux
infections répétées et à la surcharge des mécanismes cellulaires de
détoxication.

Les drogués par voie IV constituent le 2° groupe à
risque. Leur équilibre immunitaire est troublé par les drogues
elles-mêmes, par les fréquentes infections provenant du partage
d’aiguilles contaminées, par les substances toxiques mélangées aux
drogues, par la malnutrition liée à l’usage de drogues. 5% de la
population totale de drogués intraveineux sont potentiellement sujets à
l’épuisement immunitaire. Dans de rares cas, les enfants de mères
toxicomanes sont eux-mêmes immunodéficients du fait de l’intoxication
chronique de leurs mères. La perturbation de la respiration cellulaire
au niveau des cellules immunitaires et non-immunitaires fait que ces
nouveaux-nés souffrent eux-mêmes d’insuffisance immunitaire.

Les hémophiles forment un 3° groupe à risque, du
moins ceux qui ont reçu des injections de facteur de coagulation (le
facteur VIII, une protéine) non purifié, donc associé à d’autres
protéines antigéniques : cela aboutit à une hyper production de NO
chronique comme l’ont prouvé des expérimentations animales.

Les polytransfusés (moyenne de 35 transfusions) du
fait d’une maladie grave sont aussi un petit groupe à risque,
numériquement parlant.

Un étude clinique étalée sur 10 ans et portant sur
plusieurs milliers de patients, au Canada, a révélé déjà en 1986 que
plus de 30% de patients opérés présentent des perturbations
immunitaires : anomalies comprises aujourd’hui comme résultant de
troubles des cellules immunitaires productrices de NO et de
prépondérance des cellules immunitaires non productrices de NO.

Dès les années 60 il apparut qu’après traitement par
médicaments immunosuppresseurs les patients ayant subi une
transplantation d’organe souffraient des mêmes troubles immunitaires
qui se manifestèrent à la fin des années 70 dans les milieux
homosexuels masculins et qui reçurent le nom de SIDA à partir de 1982.
Les mêmes maladies caractéristiques de l’épuisement immunitaire, les
mêmes maladies opportunistes signant l’inhibition des cellules
immunitaires productrices de NO et la prédominance des cellules
immunitaires non productrices apparurent chez les leucémiques traités
par des antimitotiques, substances analogues à l’AZT utilisé comme
antiviral contre le SIDA.

D’autres facteurs immunotoxiques tout à fait
différents peuvent stimuler de manière excessive la production
cellulaire de NO et aboutir secondairement à son inhibition. Ce sont
les substances toxiques (pharmaceutiques ou non), la malnutrition
quantitative ou qualitative, l’injection de protéines étrangères, les
infections multiples et récidivantes, les dysfonctionnements
endocriniens, les stress émotionnels et bien d’autres facteurs.
SIDA dans le Tiers-Monde

Dans les pays en développement ce sont les
infections et les phénomènes inflammatoires chroniques, la malnutrition
et la consommation d’eau polluée qui sont les causes majeures
d’épuisement immunitaire. Cette mauvaise situation sanitaire est due à
des conditions de vie pour lesquelles l’Occident porte historiquement
une grande part de responsabilité.

Ces conditions font que, dans les pays du
Tiers-Monde, les enfants, les femmes et les hommes sont plus souvent
infectés par des germes pathogènes que dans les pays industrialisés.

Les microbes qui vivent hors des cellules sont
inhibés et éliminés par les anticorps et autres mécanismes immunitaires
humoraux, tandis que ceux qui pénètrent dans les cellules (ce sont
essentiellement les mycoses, les parasites, les mycobactéries et les
virus) ne peuvent être efficacement inhibés et éliminés que par une
production suffisante de NO.

En cas d’infection intracellulaire chronique, la
production du gaz cytotoxique NO est constamment stimulée pour tenter
d’éliminer le germe infectieux. Mais le NO est un facteur toxique pour
la cellule elle-même : elle doit donc se protéger contre l’effet
irritant et éventuellement mortel de ce gaz endogène. Cette protection
est réalisée par divers antioxydants : protéines soufrées, vitamines,
enzymes. Ces antioxydants doivent être ingérés ou synthétisés à partir
de l’alimentation. Les antioxydants portent ce nom car ils doivent
constamment neutraliser des substances oxydantes telles que le NO et
ses dérivés, ou les radicaux libres oxygénés (reactive oxygen species,
ROS). S’il y a épuisement d’antioxydants ( à cause de déficit
alimentaire d’antioxydants ou de substrats permettant de les
synthétiser, ou bien à cause d’infections ou de processus
inflammatoires chroniques épuisant les réserves d’antioxydants) les
molécules de NO et de ROS ne peuvent plus être efficacement
neutralisés. Il s’ensuit une détérioration cellulaire et divers
dysfonctionnements métaboliques secondaires au sein des cellules
immunitaires et aussi non-immunitaires ; cela mène à une inhibition de
la production de NO et par conséquent à l’apparition des infections
opportunistes.



Ce cercle vicieux commençant par la présence
d’infections chroniques, de malnutrition et de carence en substances
antioxydantes et aboutissant à davantage d’infections appelées
infections opportunistes est bien connus dans les pays du Tiers-Monde
sous le nom de SIDA nutritionnel (NAIDS ou SIDAn) (4).



Ces facteurs fondamentaux d’épuisement immunitaires
(de SIDA) dans les pays en développement affectent indifféremment, quel
que soit le sexe, les enfants pas encore nés, les nouveaux-nés, les
enfants, les femmes et les hommes. Ces facteurs différent
fondamentalement de ceux qui entraînent le SIDA en Occident dans les
groupes à risques.
SIDA et NO

Le SIDA en Afrique n’est pas plus le résultat de la
transmission sexuelle d’un prétendu germe infectieux qu’il ne l’est en
Occident. Le SIDA n’est pas causé par un germe infectieux particulier.
La présence d’un tel germe n’est ni nécessaire ni suffisante pour
comprendre les processus de la maladie. La supposition que le SIDA est
dû à un germe infectieux est née à cette époque encore récente où les
processus fondamentaux qui régissent l’immunité n’étaient pas encore
compris. Même dans les cas de SIDA où des infections constituent un
facteur important d’épuisement immunitaire par carence de production de
NO dans les cellules immunitaires, les maladies sexuellement
transmissibles (MST) ne jouent pas un rôle exclusif. Le sexe n’est
qu’une source d’infection parmi bien d’autres. La plupart des
infections chroniques ne sont pas transmises sexuellement : par exemple
la tuberculose pulmonaire, la malaria, les verminoses et de nombreuses
autres infections tropicales. C’est le cas aussi des infections
opportunistes qui sont principalement dues à des mycoses, des
parasites, des mycobactéries, le cytomégalovirus (CMV) et autres virus
herpétiques. L’infection caractéristique et la plus courante du SIDA,
la pneumonie à pneumocystis carinii (PPC), en est une autre preuve :
elle est déclenchée par un parasite fongique des voies aériennes.

La vision scientifique réduisant la cause du SIDA à
la transmission homosexuelle ou hétérosexuelle d’un prétendu " virus du
SIDA " a empêché de voir les causes réelles de l’immunodéficience et
des infections opportunistes. Toutes ces infections sont la conséquence
de l’inhibition de la production de NO, tant dans les cellules
immunitaires que dans les cellules non-immunitaires, et du blocage de
la respiration aérobie de certaines cellules.

La théorie " VIH/SIDA " a été jusqu’à présent
incapable d’expliquer pourquoi les maladies caractéristiques du SIDA
sont censées se développer à cause d’un prétendu VIH transmis
sexuellement ou par voie sanguine, alors que ces mêmes maladies se
développent sans aucune intervention de " VIH " dans les cas de SIDA
pharmacotoxique ou SIDA nutritionnel. Ce que ces différents cas ont par
contre en commun ce sont des facteurs immunoagresseurs de type toxique,
pharmacotoxique, infectieux et nutritif, ou une stimulation immunitaire
massive à partir de protéines antigéniques étrangères.

De nombreuses études expérimentales et cliniques ont
établi qu’au tout début de la séroconversion, quand le patient devient
" VIH " positif, la taux d’antioxydant et de protéine sulfurée
détoxifiante dans les cellules immunitaires est très bas, que les
cellules immunitaires prédominantes ne produisent plus de NO, et que
par contre la production d’anticorps est augmentée. Cela prouve que ce
qui perturbe le système immunitaire de ces patients c’est l’inhibition
de la production de NO à cause du manque de molécules antioxydantes
chargées de la détoxification. Un grand nombre de cellules immunitaires
Th2 non productrices de NO quittent alors la circulation sanguine pour
stimuler les lymphocytes B producteurs d’anticorps (5).

Il n’est donc pas nécessaire d’imaginer un prétendu
VIH pour expliquer ces perturbations. Pourtant, la diminution de
lymphocytes T4 dans la sang circulant est donnée comme preuve que ces
cellules sont détruites par le " VIH " ! Aux E-U le diagnostic du SIDA
est posé, même s’il n’y a pas de symptômes cliniques, sur base de la
chute du nombre de lymphocytes T4 sous un certain seuil associé à la
positivité du test " VIH ". Cette procédure diagnostique discutable
(SIDA sans syndrome clinique ou " IDA ") a fait que les cas de SIDA
officiels aux E-U depuis le 1° janvier 1993 ont augmenté de plus de
100%. En Europe on n’a pas utilisé à l’époque cette définition de SIDA
et dès lors les cas de SIDA ont continué à chuter.

Tout aussi discutable est la manière de
diagnostiquer le SIDA en Afrique. La définition de Bangui (1985), qui
est en usage aujourd’hui sous de multiples variantes, permet de faire
un diagnostic de SIDA sur des symptômes cliniques aussi peu spécifiques
que la toux, la fièvre, la diarrhée etc… si ces symptômes datent de
plus d’un mois. Ces symptômes sont courants dans les pays en
développement du fait des fréquentes maladies inflammatoires et
infectieuses chroniques. Ces cas, enregistrés comme SIDA sans critères
diagnostiques véritables, sont rapportés à l’Organisation Mondiale de
la Santé (OMS) à Genève. Et c’est sur base de ce diagnostic sommaire
d’une supposée " extension épidémique du VIH en Afrique " qu’on fait
des projections (estimations par extrapolation) du nombre de cas
VIH/SIDA et que des chiffres catastrophiques illustrant la pandémie de
VIH/SIDA en Afrique sont offerts à la presse du monde entier. Là-dessus
les médias, sans se poser de questions sur le sérieux de ces données,
dépeignent l’Afrique comme " un continent qui se meurt "…

Voilà comment l’opinion mondiale a été manipulée et convaincue que 90% des " infections VIH/SIDA " apparaissent en Afrique.
Se poser des questions

En Europe, aux Etats-Unis et en Afrique l’image que
se fait le public du SIDA repose donc sur des réalités différentes. Dès
lors, et vu les moyens limités des pays en développement , se poser
des questions relève du plus élémentaire bon sens : quelle est la cause
du SIDA, comment prévenir et traiter ? Comment arriver à séparer
nettement le problème médical réel des considérations médicales
officielles focalisées sur le VIH/SIDA ?
REPONSE A LA QUESTION 1
" VIH " ?

A propos de la question sur les " conséquences de
l’apparition des symptômes et de leur diagnostic ", il faut remarquer
tout d’abord qu’ en Afrique les causes véritables des maladies ne sont
pas, ou sont incorrectement, diagnostiquées.

On peut se rendre compte aussi que les malades du
SIDA et leur famille sont mis, par le diagnostic, dans une situation de
peur panique, d’exclusion et de désespoir.

Il n’y a en fait aucune preuve pour étayer la
théorie disant que " le SIDA est causé par le VIH " et au contraire
énormément de preuves contre cette théorie. Personne n’a jamais isolé
le " VIH ", l’existence de ce prétendu virus fut affirmée suite à la
présence de marqueurs moléculaires non spécifiques apparaissant après
manipulation de cellules immunitaires sanguines de patients homosexuels
atteints de SIDA (6). Ces cellules immunitaires furent stimulées par
des substances très oxydantes ce qui, on le sait maintenant,
déclenchent en réaction la production de NO. Comme elles étaient
carencées en molécules soufrées détoxifiantes, une partie de ces
cellules périt ; ce phénomène (chute de lymphocytose) est interprétée
comme une destruction des lymphocytes par l’hypothétique VIH. Une autre
partie des cellules réagit en adaptant son métabolisme ; entre autres
par la synthèse de nouvelles protéines et par l’expulsion hors de la
cellule de protéines liées au stress oxydatif. La présence de ces deux
marqueurs moléculaires (protéiques) fut considérée comme la preuve de
la présence de " VIH ", alors que ces mêmes marqueurs peuvent
apparaître dans bien d’autres cultures cellulaires soumises aux mêmes
conditions de laboratoire.
Isolement ?

Toutes les expériences qui prétendent être des
isolements de " VIH " sont basées sur la mise en évidence de tels
marqueurs non spécifiques après stimulation par des substances très
oxydantes. Sans avoir recours à ces artifices chimiques, personne n’a
pu démontrer la présence de " VIH " libre dans le sérum sanguin de
patients " VIH " positif ou atteints de SIDA, alors que, selon la
théorie VIH/SIDA qui prévaut depuis 1995, ce " VIH " devrait se
multiplier des milliards de fois…

Les découvertes concernant la NO, font apparaître
que les chercheurs " VIH " ont confondu cause et effet. L’inventeur du
test " VIH " breveté en 1987, le prof. Gallo, traita ses cultures
cellulaires de patients SIDA avec de l’hydrocortisone. Or l’hormone
hydrocortisone bloque la division cellulaire, y compris celle
d’éventuels virus intracellulaires qui ne peuvent que synchroniser leur
reproduction avec celle de la cellule-hôte. L’hydrocortisone inhibe
aussi la production de NO tout en promouvant la néo-formation de
protéines (regenerative proteins).

Deux anciens collègues du Prof. Gallo ont révélé en
1987 que la présence de marqueurs moléculaires (protéines néoformées ou
protéines " de stress " expulsées par les cellules sous la forme de
particules dites " virus-like ") avait été démontrée avec une facilité
particulière après l’adjonction d’hydrocortisone aux cultures
cellulaires utilisées pour la recherche de " VIH " dans les lymphocytes
de patients atteints de SIDA. Il s’agissait des expériences menées dans
la laboratoire du Prof. Gallo en 1984, au moment de la mise au point du
test " VIH ". Le prof. Gallo avait, à l’époque, tenu secret cet usage
d’hydrocortisone, et il ne reconnut le fait qu’en 1998 quand on le lui
reprocha au cours d’une conférence de presse au Congrès international
sur le SIDA à Genève.

Le Prof. Gallo a été jusqu’ici incapable d’expliquer
pourquoi le " VIH " se reproduit particulièrement bien dans une culture
cellulaire traitée à l’hydrocortisone alors que, comme le sait bien
tout médecin praticien, l’hydrocortisone bloque la division des
cellules-hôtes. La recherche sur le NO donne l’explication : les
marqueurs moléculaires prétendument preuve de l’existence du " VIH " ne
sont rien d’autre que des protéines néoformées et des déchets
cellulaires expulsés par les cellules exposées au stress oxydatif sous
forme de particules virus-like. Ces marqueurs, non spécifiques, n’ont
rien à voir avec le prétendu " VIH ".
Un test " VIH " ?

Le Prof. Gallo fit des co-cultures de lymphocytes de
patients atteints de SIDA et de cellules leucémiques humaines, et
stimula ces cultures avec des facteurs oxydants. Une protéine apparut
dans la co-culture à la suite de ce traitement. Il l’appela " protéine
VIH " sans apparemment faire l’hypothèse plus vraisemblable qu’elle
pouvait provenir de cellules humaines soumises au stress oxydatif de la
culture. Il utilisa alors cette protéine abusivement attribuée au
" VIH " comme substrat de son test à anticorps " anti VIH ", test qui
fut breveté. Ce substrat antigénique, dont la dose a été calculée pour
réagir à des taux particulièrement élevés d’anticorps, réagit avec les
anticorps présents dans le sérum sanguin des patients dont les cellules
immunitaires produisent une grande quantité d’anticorps. Cette
situation apparaît surtout chez les malades dont la réponse immunitaire
cellulaire par NO est épuisée et compensée par une synthèse accrue
d’anticorps (réaction immunitaire humorale).

Un test " VIH " positif veut donc simplement dire
ceci : la personne testée a un grand nombre d’anticorps dans le sang,
et ces anticorps réagissent avec la protéine étrangère du test. Comme
un anticorps ne réagit pas uniquement avec la protéine spécifique
contre laquelle il a été produit (un anticorps n’est pas rigoureusement
spécifique), il s’ensuit qu’un grand nombre d’anticorps différents
réagiront positivement avec la protéine du test " VIH ". En Afrique,
les anticorps des personnes testées réagissent positivement au test
" VIH " alors que ces anticorps réagissant ont été initialement
produits contre les protéines antigéniques du BK (tuberculose), du
plasmodium de la malaria, de parasites ou de bien d’autres germes
infectieux.
Transmission ? Contamination ?

Ne parlons donc pas d’infection " VIH ", pas plus
par transmission sexuelle que par voie sanguine. Les prétendues
contaminations de mère à enfant sont des transmissions soit d’anticorps
maternels à l’enfant, soit de produits toxiques pour le système
immunitaire en formation du fœtus, soit de médicaments immuno-toxiques
administrés après la naissance. Ce peut être aussi le résultat d’une
infection chronique de la mère transmise à l’enfant.

Les contaminations " VIH " dites professionnelles ou
suite à un viol sont des faits exceptionnels. Aucune étude scientifique
ne prouve que ces cas existent réellement. Ces histoires dramatiques
sont fondées sur la pseudo-logique de l’hypothèse VIH/SIDA et sont
utilisées pour faire croire au public que le SIDA est une infection.

REPONSES AUX QUESTIONS 2 et 3

Améliorer les conditions alimentaires et sanitaires


Ce qui précède montre bien qu’aucun traitement ni
aucune prévention ne peuvent se fonder sur l’existence d’un supposé VIH
cause du SIDA.

Il y a cependant des possibilités de prévention et
de traitement pour le SIDA et pré-SIDA : corriger la malnutrition
calorique et protéique et les carences alimentaires diverses, traiter
les causes infectieuses et non infectieuses de maladie, éviter les
autres facteurs de risque, prendre des compléments vitaminiques, des
minéraux, des antioxydants, des médicaments protecteurs du foie.

Des traitements non toxiques peuvent rétablir
l’équilibre immunitaire en ne bloquant pas la respiration cellulaire
comme le font l’AZT et autres antiviraux.

Depuis quelques années, la médecine conventionnelle
a, elle aussi, commencé à redécouvrir les bienfaits des antioxydants et
de la protection hépatique chez les patients immuno-déprimés. Dans ce
domaine, les pays en développement ont beaucoup de possibilités :
consommation de produits de la mer comme aliment (poissons) et
compléments alimentaires (algues), culture de plantes indigènes non
brevetées pour usage phytothérapeutique, réhabilitation de médecines
traditionnelles.

Des somme fabuleuses ont été gaspillées en Occident
depuis 1984 sur base de la théorie manifestement fausse selon laquelle
" le VIH est la cause du SIDA ". Les pays pauvres ne peuvent pas se
permettre ces extravagances et devraient plutôt investir leurs maigres
ressources dans l’amélioration des conditions générales d’existence.
Ceci implique que les équipes médicales de ces pays soient formées à
appréhender les problèmes selon les connaissances scientifiques de l’an
2000 plutôt que celles de 1984. L’histoire médicale en Occident a
démontré que la fréquence et la gravité des maladies infectieuses
aiguës et chroniques ont pu être drastiquement et durablement réduites
dès avant le milieu du XX° siècle, avant l’introduction des médicaments
de synthèse, des antibiotiques et des vaccinations de masse (7).
Entre-temps, les découvertes de la recherche fondamentale sur le NO,
sur la vie cellulaire symbiotique et dans d’autres domaines sont à
l’origine de progrès significatifs dans la prévention et le traitement
des déficiences immunitaires.

Tôt ou tard ces découvertes prévaudront dans la
prévention et le traitement du SIDA. Les chercheurs, les médecins et
les autres professions impliquées dans la question ont bénéficié depuis
1984 d’un flux massif de subventions pour combattre le " VIH , cause du
SIDA ". Ils ont été indignés par les saines questions du gouvernement
sud-africain sur la cause, le traitement et la prévention du SIDA, mais
cette indignation est liée à leur ignorance et leur refus d’apprendre.

Ce rejet des médecins et scientifiques dissidents
est une violation inacceptable des droits de l’homme (au détriment
surtout des malades). Ces dissidents n’ont fait que tirer des
conclusions rationnelles de découvertes scientifiques reconnues et
fondent leur attitude dissidente sur les meilleures observations et
connaissances disponibles, sur les exigences de leur conscience et sur
le sens qu’ils ont de leur responsabilité professionnelle.
L’Afrique du Sud devant un choix

Que se passerait-il si le gouvernement sud-africain
restait attaché à la théorie virale du SIDA, théorie devenue
scientifiquement obsolète, et suivait les conseils recommandant l’usage
massif de poisons comme l’AZT et médicaments similaires ? Cela
déclencherait justement la catastrophe annoncée pour l’Afrique par les
autorités médicales, les médias, les politiciens et l’industrie
pharmaceutique, ainsi que par la grande armée de ceux qui profitent des
énormes subventions libérées en réponse à la peur viscérale des
populations menacées d’un nouveau fléau. Après avoir vaincu l’apartheid
et son racisme, la mission historique du gouvernement sud-africain ne
serait-elle pas de résister à la psychose du " VIH " et de développer
un modèle proprement africain en vue de promouvoir des conditions de
vie meilleures ainsi que des règles de prévention et de traitement ?

En Occident des séropositifs ont survécu parce
qu’ils ont résisté à la psychose ambiante, parce qu’ils ont reconnus
les facteurs de risques et qu’ils ont adopté un mode de vie sain en
utilisant largement des compléments alimentaires et des antioxydants. A
l’inverse, les séropositifs qui ont fait confiance à la médecine
officielle ont été victimes de traitements dits antiviraux hautement
toxiques.
L’AZT, un dangereux poison cellulaire

" Le très toxique AZT bloque la maturation des cellules immunitaires productrices d’anticorps dans la moëlle osseuse " (Peut-on faire confiance aux médicaments ? Icon_cool.

Pendant ses premiers mois de vie le nouveau-né est
protégé contre les infections extra-cellulaires par les anticorps
transmis par sa mère. Les anticorps mesurés chez le nouveau-né par le
test " VIH " sont donc des anticorps de sa mère. En Occident, environ
12% de bébés nés de femmes séropositives sont eux-mêmes séropositifs.

Personne ne sait réellement quels anticorps de la
mère et du bébé réagissent positivement au test. Comme le seuil de
sensibilité du test est déterminé pour que la positivité apparaisse
avec une certaine quantité d’anticorps, un test positif signifie
seulement que la mère et le bébé ont dans le sang une quantité
suffisante d’anticorps pour réagir à la protéine du test . Et un test
négatif chez un bébé né de mère séropositive signifie simplement que le
bébé n’a pas reçu assez d’anticorps de sa mère pour réagir au test.

Que se passe-t-il si on donne de l’AZT à la femme enceinte séropositive ?

Par ses propriétés biochimiques l’AZT va attaquer
les cellules immunitaires productrices d’anticorps, le taux d’anticorps
transmissible au bébé va diminuer et donc le bébé recevra peut être
trop peu d’anticorps de sa mère pour faire réagir le test. Affirmer que
" l’usage de l’AZT diminue de moitié la probabilité de transmission du
VIH au nouveau-né " est une interprétation erronée de ce phénomène.

En réalité, le test ne révèle pas la présence ou
l’absence de " VIH " mais seulement la quantité d’anticorps transmise
par la mère au bébé.

Le mécanisme d’action de l’AZT est bien connu. Il
inhibe certains enzymes nécessaires à la respiration cellulaire et à la
formation de l’ADN.

L’AZT administré à des femmes enceintes a causé de graves malformations congénitales et d’autres problèmes de croissance (10).

L’administration d’AZT est strictement
contre-indiqué pour tout séropositif ou malade du SIDA, femmes
enceintes ou non, enfants ou hommes, y compris pour les malades non
testés considérés comme " infectés par le VIH " selon les critères de
Bangui. " Une analyse critique des publications prétendant que l’AZT a
des effets anti-VIH montre qu’il n’existe aucune preuve théorique ou
expérimentale confirmant que l’AZT, seul ou en association, ait un tel
effet " (11).

Le fait que l’AZT inhibe des enzymes microbiennes a
été interprété à tort comme une action inhibitrice sur le " VIH ". Mais
les cellules des malades dont le système immunitaire est déjà déprimé
sont plus sensibles à cette inhibition enzymatique que les germes
pathogènes, de sorte que l’usage de l’AZT ne fera que favoriser, tôt ou
tard, le développement de germes responsables de maladies opportunistes
caractéristiques du SIDA.

L’AZT et l’excès de NO ont une action et des effets
similaires : souffrance et détérioration accélérée des cellules de
l’organisme avec dysfonctionnement de leur métabolisme.

L’idée fixe " infection VIH " empêche de comprendre
les choses de cette manière. Le fabricant d’AZT reconnaît que des
" phénomènes pathologiques semblables à l’infection VIH ont été
observés après un traitement prolongé à l’AZT " (Glaxo Wellcome, notice
1998). Il fait également cet avertissement : " Rétrovir
(=Zidovudin=AZT) peut être associé à une grave intoxication des
cellules souches de leucocytes et de globules rouges avec parfois
anémie grave. Des dégénérescences de cellules musculaires ont été
associées à l’administration prolongée d’AZT ".(Glaxo Welcome :
Rétrovir. In : Physicians’ Desk Reference. Medical Economic Co,
Monvale, 1998, p 1167-75).

Les symptômes de ce qu’on appelle " infection VIH "
(perturbations de l’immunité cellulaire, test " VIH " positif, et
maladies opportunistes) peuvent trouver une explication cohérente grâce
aux découvertes sur le NO et sans devoir imaginer l’existence d’un
" VIH ".
Des faits et des chiffres manipulés

" En Afrique du Sud, presque la moitié des jeunes
femmes sont séropositives dès l’âge de 20 ans, et 58% à 25 ans. Parmi
les hommes, le taux d’infection atteint son point culminant à 32 ans :
45% ont le virus fatal dans le sang à cet âge " (Der Spiegel, 3/7/2000).

" Le soudain accroissement de cas de tuberculose
parmi les travailleurs des mines d’or de Carletonville a attiré
l’attention du directeur de l’Institut Epidémiologique de
Johannesbourg, le Dr Williams. En 10 ans le nombre de tuberculeux a
presque quadruplé ; la tuberculose est 100 fois plus fréquente que dans
les pays industriels. Explication du Dr Williams : cette maladie
pulmonaire est souvent le résultat d’une infection VIH. Les tests
confirment ses soupçons : 1 mineur sur 3 est déjà infecté par le VIH,
comme le sont 37 % des femmes adultes " (Der Spiegel 3/7/2000).

Ce que cette prestigieuse revue européenne oublie de
dire à ses lecteurs c’est que des chercheurs orthodoxes sur le VIH/SIDA
de l’Université de Harvard (US) ont conclu d’une grande étude faite en
1994 que " les résultats des tests Elisa et Western Blot (WB) doivent
être interprétés avec prudence quand ils sont réalisés chez des gens
ayant été au contact avec le bacille tuberculeux ou d’autres
mycobactéries. Les tests Elisa et WB ne peuvent pas être considérés
comme suffisants pour établir un diagnostic de VIH dans les régions
d’Afrique où le taux d’infection à mycobactéries est très élevé. Dans
ce cas un très grand pourcentage de tests VIH Elisa ou WB sont
faussement positifs " (11).

Comme beaucoup d’autres grands médias, Der Spiegel a
été informé à plusieurs reprises du caractère fantaisiste des
déclarations scientifiques concernant le VIH/SIDA en Afrique. Mais sa
ligne rédactionnelle n’a pas changé pour autant.

Toute personne correctement informée des conditions
de travail dans les mines d’or africaines et des conditions de vie dans
les camps aménagés pour les travailleurs comprend parfaitement pourquoi
il y a tant de tuberculose et d’autres infections parmi eux. Pour
expliquer l’endémie de tuberculose dans cette population de mineurs, il
n’est pas nécessaire d’invoquer une infection " VIH " ni d’effectuer
des tests " VIH ".

Poursuivons donc la lecture de Der Spiegel : " Un
jeune Sud-Africain sur deux mourra de SIDA, prédit l’OMS. Chaque heure
qui passe, 70 Sud-Africains sont infectés par le virus fatal. Et nulle
part, déclare l’épidémiologiste Brian Williams, la situation n’est pire
que dans la ville minière de Carletonville. Parce que là sont réunies
les conditions idéales pour que se développe un virus transmis
sexuellement. Quelque 70.000 hommes seuls vivent dans des baraquements
construits par les sociétés minières autour de la petite ville et de
ses quartiers noirs. C’est le résultat d’une politique de création
d’emplois datant de l’apartheid. L’or se trouve plusieurs kilomètres
sous le sol de Carletonville. Il faut 1 tonne de minerai pour extraire
1 gr d’or. Pour rendre la mine rentable, il faut employer sur le site
minier une main d’œuvre considérable venant d’ailleurs. Jusqu’à
présent, ces travailleurs itinérants ne voient leurs familles que tous
les 2 à 3 mois. Le reste de l’année ils vivent entassés à 14 sur 45
mètres carrés " (Der Spiegel, 3/7/2000).

N’importe quel médecin un peu expérimenté reconnaît
dans cette description les conditions de vie et de travail idéales pour
le développement et la transmission du bacille tuberculeux (BK, bacille
de Koch) et d’autres germes infectieux, d’autant plus si les soins
médicaux sont, comme dans les pays d’Afrique, insuffisants.
Des tests non spécifiques et donc non fiables

Ces chiffres effarants d’ " infection VIH " en
Afrique du Sud se basent uniquement sur le test " VIH " Elisa qui donne
très fréquemment des résultats faussement positifs. En Occident pour
porter le diagnostic d’ " infection VIH " il faut 2 tests Elisa
positifs confirmés par 1 test WB positif. En Afrique, en règle
générale, on ne fait que le test Elisa (pour une question de prix). De
plus les résultats du test dépendent de la viscosité du sang, qui est
plus grande dans les pays tropicaux qu’en Occident. Cela fait que des
Africains testés séropositifs dans leur pays sont régulièrement
séronégatifs quand ils sont testés en Occident selon les critères
occidentaux.

En réalité on peut dire que tout test " VIH "
positif est un faux positif, que ces tests ne peuvent pas mettre en
évidence des anticorps anti " VIH ", pour la bonne raison que personne
ne peut fournir la preuve que le substrat antigénique de ces tests dits
VIH est une protéine du "VIH " (6).

Pour l’interprétation de ces tests à anticorps faits en Afrique, il est essentiel de savoir ce que ces tests veulent dire :

  • un test positif signifie-t-il que le sang du
    patient contient des anticorps anti "VIH " produits après
    contamination sexuelle par le " VIH " ?
  • ou bien un test positif signifie-t-il que le
    sang du patient contient des anticorps d’une autre nature, produits
    suite à un (ou des) contact(s) avec une mycobactérie (BK, bacille de la
    lèpre, mycobactérie aviaire…), ou un germe fongique (pneumocystis
    carinii, candida, cryptocoque, histoplasme…), ou un autre parasite
    (coccidia, plasmodium…) ou tout autre germe pathogène sans rapport avec
    le " VIH " ?


Une médecine scientifique se doit de considérer ces questions et d’y répondre si elle veut prétendre à un minimum de sérieux.

La recherche médicale a clairement démontré que les
tests " VIH " réagissent positivement aux anticorps formés contre des
mycobactéries et des mycoses (12). Il n’est pas scientifiquement
défendable d’affirmer qu’en Afrique un test " VIH " positif équivaut à
une infection fatale par le " VIH ". L’affirmation du Dr Williams selon
laquelle le développement de la tuberculose parmi les Africains est le
résultat d’une infection " VIH " est absolument dénuée de fondement. La
réalité biologique est que l’infection mycobactérienne tuberculeuse
entraîne la formation d’anticorps et que ces anticorps peuvent réagir
positivement avec les protéines du test " VIH ". L’infection
mycobactérienne précède et cause la séropositivité et non l’inverse.

Par contre un test " VIH " positif ne permet pas de
dire qu’une infection mycobactérienne, fongique ou autre est activement
en cours. Il faut pour cela faire appel à des méthodes diagnostiques
spécifiques. Une séropositivité peut impliquer la présence d’anticorps
apparus suite à une infection antérieure, mais ne permet pas
d’identifier le type d’infection.

Les tests dits VIH sont donc absolument non
spécifiques et sans valeur. Les utiliser est irrationnel et conduit à
des interprétations erronées et dangereuses.

Malgré ces faits bien connus, c’est sur ces tests et
ces diagnostics de séropositivité plus que douteux que se fonde l’OMS
pour publier ses statistiques épidémiologiques catastrophiques et ses
prédictions apocalyptiques, qu’à leur tour l’ensemble du corps médical
et les grands médias de tous les pays considèrent comme une information
scientifique et une réalité biologique indiscutable qu’ils transmettent
alors au grand public.
Manipulation de l’opinion

Les déclarations délibérément fausses de
scientifiques sur l’épidémie " VIH " mortelle en Afrique du Sud font un
perfide usage du nombre de séropositifs présentés comme des infections
" VIH " prouvées. Ces chiffres permettent d’accuser le gouvernement
sud-africain d’irresponsabilité politique et de répandre une peur
panique injustifiée dans la population. Et cela au profit d’intérêts
politiques et économiques.

" La moitié des jeunes adultes mourront de
l’épidémie parce que l’état n’a pas agi " (…) " Et le pire est encore
à venir… Une catastrophe difficilement imaginable menace les pays tels
que le Zimbabwe, la Zambie, le Botswana et l’Afrique du Sud ". (Der
Spiegel, 3/7/2000)

Le gouvernement sud-africain devra répondre par
autre chose que des discours au défi très dangereux qu’il doit assumer
après ce 13° Congrès International sur le SIDA organisé dans son propre
pays et notoirement sponsorisé par les multinationales pharmaceutiques.

L’Afrique du Sud semble en effet le pays utilisé
pour servir de tête de pont aux firmes pharmaceutiques pour le reste
des pays en développement.

En Occident les horribles scénarios et les histoires
de virus mortel transmissible sexuellement ont perdu de leur
crédibilité. En Allemagne les statistiques médicales officielles de
1999 nous apprennent que 800 séropositifs sont morts du SIDA. Toutes
ces victimes avaient été traitées par les poisons antiviraux.
L’épidémie générale prédite pendant des années ne s’est pas produite.

Les firmes pharmaceutiques prévoient donc une
stagnation de leurs ventes en Occident et comptent sur le marché des
pays en développement pour prendre le relais et satisfaire leurs
actionnaires : leurs bénéfices peuvent s’accroître même si elles
vendent à des prix cassés car il y a des millions de candidats à
l’empoisonnement. La stratégie a comme premier objectif le traitement
des femmes enceintes séropositives avec des médicaments antiviraux qui
ont un effet destructeur sur les cellules de la moëlle osseuse
productrices d’anticorps et qui, par cette action, diminueront le
nombre de nouveaux nés séropositifs. Ce qui sera interprété comme un
effet inhibiteur sur le " VIH "…

Comment va réagir l’Afrique du Sud à cela ?

Voici ce qu’écrivait le Président Mbeki le 3 avril
2000 dans une lettre adressée à des chefs d’Etats : " Il n’y a pas si
longtemps, dans notre pays, des gens furent tués, torturés,
empoisonnés, privés de leur liberté d’expression parce que les
autorités en place estimaient que leurs opinions étaient dangereuses et
inacceptables. Aujourd’hui on nous demande de faire exactement la même
chose que la dictature raciste de l’apartheid que nous avons combattue,
parce que, nous dit-on, il existe un consensus scientifique partagé par
la majorité des scientifiques et qu’il est interdit de le remettre en
question ".

Cependant, aujourd’hui il ne s’agit plus d’une
controverse scientifique. C’est l’étouffement de faits scientifiques
indiscutables au profit d’intérêts particuliers (vested interests).
C’est, plus précisément, la " torture propre " de millions de gens sans
défense victimes d’une panique organisée et qui devraient être traités
par des produits pharmaceutiques dont la toxicité est démontrée ; des
traitements basés sur les résultats de tests à anticorps dont il est
démontré qu’ils ne permettent pas de diagnostiquer une infection fatale
à " VIH ". Dans cette situation, l’espoir est que les cadres médicaux
et sociaux dans les pays en développement alignent leur politique de
santé sur l’état des connaissances de l’an 2000, afin de combattre par
de mesures préventives et thérapeutiques efficaces les véritables
causes du SIDA. Cette tâche exigera que soient mobilisées
intelligemment toutes les ressources et toutes les forces, et qu’on se
libère de l’idée fixe faisant du SIDA une " infection à VIH ", qu’on se
libère de cette hypothèse réductrice qui embrouille terriblement le
problème.
L’industrie pharmaceutique et la Névirapine

" D’après les prévisions présentées à Durban par le
Bureau of Statistics et l’Agency for International Development (AID),
deux services officiels américains, l’espérance de vie au Botswana est
de 29 ans ; en Afrique du Sud, au Swaziland et en Namibie elle est de
30 ans. D’autre part, M. Mbeki déclara à l’ouverture du Congrès que la
pauvreté était la première cause de mort dans le monde, et la
principale source de maladies et de souffrances. De manière indirecte
il exprima des doutes sur l’importance de la catastrophe SIDA annoncée
pour l’Afrique du Sud. Au Botswana 1 personne sexuellement active sur 3
est infectée, le plus haut pourcentage du monde. En Afrique du Sud, il
y a 4,2 millions de porteurs de virus (1 adulte sur 5), plus que dans
n’importe quel autre pays du monde. A partir de 2003 les populations du
Botswana et d’Afrique du Sud vont décliner, selon de nouvelles études
américaines. A peu près 70% des 334 millions de victimes du SIDA et la
quasi totalité des 11 millions d’orphelins SIDA du monde vivent en
Afrique subsaharienne.

Dans son discours d’ouverture du Congrès (auquel
assistaient pendant 6 jours plus de 11.000 médecins, scientifiques et
activistes SIDA) Mbeki a déçu les attentes de ceux qui espéraient le
voir abandonner sa position controversée et se mettre à combattre le
SIDA. Il déclara qu’on ne pouvait pas tout mettre sur le compte d’un
virus, mais il évita de parler du lien entre VIH et SIDA. Contrairement
à l’opinion de la grande majorité des scientifiques, il ne considère
manifestement pas ce lien comme décisif. Dans une lettre au chef de
l’opposition, Leon, Mbeki réitéra ses doutes sur l’efficacité de la
thérapie antivirale, ce qui aggrava encore le malaise des
scientifiques. La Ministre sud-africaine de la santé, le Dr Manto
Tshabalala-Msimang, exprime aussi des réserves : le deuxième jour du
congrès elle déclara que l’efficacité et les dangers possibles de la
Névirapine devaient être soigneusement étudiés avant d’envisager son
usage en Afrique du Sud. Pour ce faire, la firme pharmaceutique
allemande Boeringer-Ingelheim, productrice de la Névirapine, médicament
qui pourrait grandement réduire la transmission du SIDA de la femme
enceinte ou allaitante à son enfant, a offert de fournir gratuitement
le produit à l’Afrique du Sud et aux autres pays en développement
pendant 5 ans " (Frankfurter Allgemeine Zeitung : Weitere Kontroversen
auf dem AIDS-Gipfel in Durban, 11/7/2000).

La Névirapine est un inhibiteur non nucléosidique de
la transcriptase inverse (NNRTI) utilisé pour inhiber la réplication du
" VIH ". Comme l’AZT, il inhibe la maturation des cellules productrices
d’anticorps de la moëlle osseuse et il peut donc négativer un test
" VIH " chez le nouveau-né. Une analyse critique des données
actuellement disponibles montre que la Névirapine est aussi peu
efficace contre le " VIH " que l’AZT (11).

Un esprit rationnel qui examine le problème n’a pas
besoin " d’étudier soigneusement l’efficacité et les dangers possibles
de la Névirapine " parce que l’usage de cette substance immunotoxique
est aussi peu justifié que l’usage de l’AZT. Il n’y a au contraire que
de formelles contre-indications.

Par contre celui qui adhère à la théorie virale du
SIDA se sentira obligé de faire cette étude soigneuse de la Névirapine.
Et, sous la pression psychologique de la croyance générale qu'un enfant
sur 2 risque de mourir d’infection " VIH ", cette étude soigneuse
aboutirait à l’administration de Névirapine (et autres drogues
similaires) à des femmes enceintes ou allaitantes, à des nouveaux nés,
des enfants, puis d’autres hommes et femmes. C’est ainsi que cela s’est
passé en Occident depuis 14 ans, le scénario est donc bien connu.

De même les résultats de cette " étude soigneuse ",
en Afrique du Sud et ailleurs des effets de la Névirapine administrée à
des femmes enceintes séropositives et à leurs nouveaux nés peuvent être
imaginés d’avance. Ces effets prouveraient seulement que le taux
d’anticorps non spécifiques peut être diminué par des substances
toxiques : certains enfants nés de femmes séropositives pendant la
grossesse seraient séropositifs, certains autres négatifs, et les
séronégatifs seraient statistiquement plus nombreux dans le groupe
traité. Cela serait interprété, erronément, comme une preuve que la
Névirapine inhibe le " VIH " et, malgré les graves atteintes
immunitaires observées après l’usage, même court, de ce genre de
médicaments immunotoxiques, les résultats de " l’étude soigneuse "
justifieraient le traitement régulier par la Névirapine, ou des
produits similaires, de millions de femmes enceintes et de leurs
nouveaux-nés. Les ravages immunitaires qui s’ensuivraient seraient
attribués au " VIH "…Les perturbations de la biologie cellulaire qui
apparaissent toujours quand le système immunitaire est agressé seraient
interprétées comme la preuve que le " VIH " est mortel.

Et personne ne remarquerait même plus le fait, démontrable, que les spécialistes du VIH/SIDA confondent la cause et l’effet.

L’offre gratuite de Névirapine pendant 5 ans pour
réaliser une " étude soigneuse " est un argument face à la compétition
d’autres firmes pharmaceutiques fabricant des produits analogues. Un
large " retour sur investissement " apparaîtrait après 5 ans. Et à long
terme le gouvernement sud-africain serait pieds et poings liés soumis à
la dictature de l’industrie pharmaceutique, de ses exécutants et de ses
agents de marketing. Dans le même temps l’opinion publique mondiale
bien manipulée féliciterait le gouvernement sud-africain pour
l’empoisonnement massif de son peuple et on ne parlerait plus
d’ " irresponsabilité et de manque de volonté politique " .

CONCLUSIONS
Si…


Si les découvertes fondamentales sur le monoxyde
d’azote (NO) et dans d’autres secteurs de la biologie avaient été
connues au début des années 1980, on n’aurait pas dû chercher une
explication au développement des maladies opportunistes en imaginant
un " VIH ". On n’aurait pas non plus considéré la nécessité de faire
des tests " VIH ". Et personne n’aurait pu justifier une recherche sur
l’efficacité et les dangers possibles de substances immunotoxiques en
vue de traiter, ô paradoxe, des malades immunodéprimés.

On aurait mis en évidence et étudié l’état de stress
oxydatif des personnes à risque et des malades, on aurait observé que
la carence en anti-oxydants et les dérèglements de la production de NO
dans les cellules immunitaires (type Th1) étaient des faits
reconnaissables longtemps avant les manifestations cliniques des
maladies opportunistes. On aurait reconnu les facteurs de risque
expliquant l’immunodéficience des malades en Occident et dans les pays
en développement. Et on aurait cherché à écarter ces facteurs de risque
par des mesures préventives et thérapeutiques visant à restaurer
l’équilibre immunitaire et un métabolisme cellulaire correct.

Ce n’est pas la première fois dans l’histoire de la
médecine qu’une maladie de carence est prise pour une maladie
infectieuse. Ce fut le cas pour le béri-béri (carence vit. B1) et le
scorbut (carence en vit.C), par exemple.
Enjeux

Le quartier général de la propagande pour le
" VIH ", l’ONUSIDA, a pointé un doigt accusateur sur la conduite du
Président Mbeki.

" Si les choses continuent de cette manière, tous
les efforts investis dans l’aide au développement n’auront servi à
rien, ce qui évidemment aurait des conséquences pour l’économie
mondiale. Dans le pire des cas, c’est l’anarchie qui menace. " (Der
Spiegel, " Zeitbombe vor der Haustür ", 10/7/2000). On peut reconnaître
là un chantage politique à peine voilé.

Pourtant, cette bruyante propagande au service de
l’industrie pharmaceutique ne doit pas cacher entièrement le fait que
même des partisans de l’empoisonnement massif organisé soutiennent, par
leurs déclarations, la position du gouvernement sud-africain.

" Le problème pour la plupart des patients traités
c’est toujours les effets secondaires. Les experts considèrent même
comme possible que dans les 10 ans à venir des troubles coronariens
apparaissent fréquemment chez les malades VIH traités. Et
l’affaiblissement du système immunitaire pourrait même causer
l’apparition de cancers. " (Der Spiegel, " Zukunft der Todgeweihten ",
10/7/2000).

C’est un comble : ceux-là même qui prétendent que
leurs médicaments immunotoxiques dits antiviraux peuvent prévenir une
maladie caractérisée par la déficience immunitaire, prévoient
maintenant que les patients ainsi traités risquent de développer des
maladies graves en conséquence des effets toxiques de leurs traitements.

En réalité, il est manifeste que tous les
médicaments dits antiviraux peuvent causer des immuno-déficiences, des
atteintes au muscle cardiaque et la cancérisation de cellules dont la
respiration est bloquée, surtout chez des gens immunodéprimés au
départ.

Au cours des discussions du 13° Congrès sur le SIDA,
l’opinion exprimée dans le Wall Street Journal en 1996 fut confirmé :
les séropositifs et les malades du SIDA traités par antiviraux " sont
pratiquement les cobayes de la recherche pharmacologique et font
l’objet de la plus grande et la plus coûteuse expérimentation médicale
jamais effectuée ".

Le gouvernement sud-africain a été le premier à oser
s’opposer à la folie galopante de la théorie virale du SIDA et aux
profiteurs de cette croisade " humanitaire ". Le problème du SIDA
démontre la vulnérabilité de la civilisation quand on abuse de l’énorme
pouvoir de suggestion de la médecine moderne pour exploiter les
populations en créant la panique face à des épidémies imaginaires. Les
stratégies trompeuses des chasseurs de virus et de leurs propagandistes
sont plus insidieuses que l’ancien colonialisme parce qu’elles
méprisent le droit humain à la vie et à l’intégrité corporelle, et
s’imposent sous le masque de l’aide humanitaire. Ce faisant elles
empêchent de reconnaître les réelles causes scientifiquement établies
du SIDA et, de les traiter par les moyens non toxiques existants.

La théorie VIH/SIDA a soulevé de monstrueux
problèmes et n’en a pas résolu un seul. Les promesses de guérison ont
une date d’expiration toujours plus courte, la désinformation est
utilisée d’une façon inimaginable, l’éthique médicale est depuis
longtemps abandonnée. Depuis 16 ans on attend la mise au point d’un
vaccin contre le " VIH " promis pour les " 2 à 10 ans à venir. ".
Depuis avril 1984, quand la ministre américaine de la santé inaugura la
doctrine nationale du " VIH , cause probable du SIDA ", ce vaccin est
régulièrement promis avant et pendant chaque Congrès mondial sur le
SIDA. Simple méthode de marketing destinée à maintenir ouvert le
robinet des subventions pour de nouvelles recherches.

Le vice congénital de l’hypothèse VIH/SIDA est
l’enregistrement d’un brevet par le découvreur du test " VIH " sans
avoir soumis préalablement sa découverte au jugement scientifique. Le
profit commercial a corrompu la recherche médicale sur le SIDA dès le
départ.

Les découvertes sur le NO, les recherches sur les
cytokines et sur la vie symbiotique cellulaire, elles, ne sont pas
brevetées et peuvent être utilisées par quiconque à des fins de
prévention et de traitement.

Heinrich Kremer, docteur en médecine,
a été entre 1968 et 1975 directeur du service médico-social pour
toxicomanes, délinquants sexuels et déséquilibrés mentaux à Berlin
Tegel (un projet pilote du gouvernement fédéral allemand en vue d’une
réforme du système pénal), puis directeur médical d’une clinique pour
adolescents et jeunes adultes toxicomanes ( Brauel, Basse Saxe). Il a
démissionné de ce service fédéral en 1988 à cause de différences de vue
concernant l’éthique professionnelle et médicale liée à la politique
sur la drogue et le SIDA. Depuis 1988 il a fait de la recherche
fondamentale sur le cancer et le SIDA et a travaillé entre 1995 et 1999
avec le Prof. Alfred Hässig comme membre assistant du Study group for
Nutrition and Immunity (Berne).


personnelement mon choix est fait ...pas de tri pour moi! par contre je reduis mon stress oxydant...
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Re: Peut-on faire confiance aux médicaments ?
Message Mar 22 Sep 2009 - 20:01 par yacre
Un peu plus de 19 ans, avec ce que j'appele, maintenant " une faiblesse immunitaire "
Maintenant , car en 1990 pas trop d'infos sur le sujet, autres que la vision officelle. ; de plus je n'avais pas encore cet outil de communication qu'est internet.
Depuis 2005 , découverte de points de vue différents et me correspondant pleinement ,donc un changement de vision avec une adéquation plus évidente entre ce que je ressentais et enfin des explications crédibles.

Donc , durant ces bientôt 20 ans, j'ai connu des périodes parfois délicates , des phases où les prises de médicaments étaient " inévitables ", et encore aujourd'hui je suis sous traitement, mais de moi-même , j'ai réduis la posologie , et les résultats sont convenables ,ça và bien par rapport à d'autres étapes de cette vie.

Des effets secondaires , oui...alors , raison de plus pour demander à être soigné pour retrouver mon équillibre immunitaire .

Donc, la meilleure aide est la mienne( de la partager me convient aussi ! ), je fais attention à mon alimentation,avec des compléments alimentaires pour équilibrer le stress oxydatif et les effets secondaires de toutes ces années médocs, j'améliore mon hygiène de vie , j'essaie de vivre à mon rythme ,et surtout j'essaie de garder le cap pour continuer à vivre cette vie avec toutes ses facettes , en appréciant Toutes les circonstances de ma vie.

Bien à vous,
Yacre.
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Re: Peut-on faire confiance aux médicaments ?
Message Mer 23 Sep 2009 - 7:23 par chloe38
Hello à tous

Je ne nie pas que pour certaines personnes la tri soit la solution.
Simplement si je vous racontais mon histoire, comme tous vous n'y croiriez pas, mais peut etre comprendriez vous ce que je pense.
Le fait qu'il n'y a aucune origine possible à ma "contamination". Quand je dis AUCUNE je pèse mes mots. Mon compagnon qui est le même depuis 6 ans est négatif, je n'ai pas eu de piercing ni de tatouage après mes derniers tests négatifs, pas d'opération, de transfusion, pas de contact avec quelque aiguille que ce soit.
Peut etre dans ce cas comprendrez vous pourquoi dans mon cas je refuse toute médication, car au fond de moi je pense que les Tests HIV testent de façon bien trop large un problème qui a des milliers de facettes, et qui je pense peut tout à fait etre endogène, soit fabriqué par notre propre corps, comme le cancer. (Au début le cancer était associé à un rétrovirus comme le HIV, on a prouvé par la suite qu'il était endogène).
DONC, pour faire court, tant qu'on ne m'aura pas expliqué comment j'ai pu sortir positive aux tests, je refuse d'être cataloguée comme ils le font avec tous les séropo, dans le même panier, tous soignés pareil alors qu'on est tous malades différement.
Un rhume chez mille personnes, même s'il s'agit du même virus, a mille effets différents sur les personnes affectées.
Certaines prendront des antibiotiques, d'autres seulement des antalgiques. Alors pourquoi la tri pour tous ?? La situation est assez grave pour que les médecins se penchent un peu plus sur chaque cas, peu m'importe à moi le temps et l'argent qu'il faudrait. La vie n'a pas de prix, je refuse d'être jetée dans la fausse aux séropo sans qu'on ne se soit penché sur mon cas à moi, très égoistement oui.
Qu'on ne me croie pas m'est bien égal, mes convictions sont faites, et n'importe lequel d'entre vous aurait pété un plomb comme moi face à cette incompréhension....

Voila pourquoi je ne veux pas avaler leurs trucs...
 

Peut-on faire confiance aux médicaments ?

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