Pour les proches de DSK, c'est la fin « d'un cauchemar affreux... »
...Mais pour les français, c'est le début d'un affreux cauchemar, un cauchemar sans nom face à l'irréfutable : «le monde de la politique et de la finance est un univers habité par des pourris qui n'ont ni foi ni loi... »
...Et ce sont les français qui votent pour élire, de la plus petite des communes jusqu'aux plus hauts sommets élyséens sans en oublier l'Europe, ceux qui vont les représenter...
Honte à nous de porter ces gens immondes au Prytanée...
Honte à nous de ne pas leur demander des comptes...
Il est vrai, ces personnages infects n'hésiteraient pas à faire usage de leur immunité et..., surtout, à se voter des lois d'amnistie ou similaires bien que d'intitulé différent pour se soustraire à la justice du peuple... Combien s'en sont-ils déjà votées de telles par le passé... , - Sang contaminé pour la plus criarde et la plus ignominieuse, etc... etc... etc... -, et, pour que l'outrage aux français n'en soit que plus cinglant, re-proposer leur nom au suffrage électoral universel pour se faire réélire...
Mais DSK osera-t-il se présenter aux primaires socialistes pour permettre à ce parti politique, - un parti politique et son exécutif pratiquant l'omerta au bénéfice de ce drôle de personnage qui, s'il était gens du peuple, aurait, depuis des temps connu les affres de la justice française à deux vitesses et les odeurs nauséeuses des geôles -, de désigner son candidat au présidentielles 2012 ?
" Plus pourri que moi, je meurs... " tel devrait, ainsi, se présenter DSK dans le titre de son CV...
L'Affaire Tristane Baron en est une preuve supplémentaire... d'autant que lors de l'émission « 93, Faubourg Saint-Honoré,présentée sur Paris Première par Thierry Ardisson », où Tristane Banon avait parlé de la dite affaire de tentative de viol dont elle avait été la victime... aucune plainte en diffamation ou en dénonciation calomnieuse n'avait été mise à l'ordre du jour... mais on s'était « arrangé » à faire taire Tristane Banon pour l'empêcher, ce dont s'en était chargé sa propre mère, - une élue socialiste et là une magouille au plus haut niveau du PS probablement -, d'en exposer plus, - entre autres interdite de télévision et un chapitre de son livre censuré-, et de déposer une plainte à l'encontre de DSK...
Alors qu'une plainte est en cours de dépôt aux motifs « tentative de viol », la hyène prédatrice se réveille et la menace d'une plainte en dénonciation calomnieuse est avancée par les avocats de DSK... Faire taire... faire taire... à tout prix et par tous moyens mêmes licencieux et justiciables... et faire pression sur un plaignant pour le dissuader de déposer plainte, un acte délictueux passible de poursuites judiciaires et emprisonnement.
En effet, les avocats parisiens de DSK annonçant leur intention de porter plainte pour dénonciation calomnieuse, infraction punie de cinq ans d'emprisonnement, "le contre-feu judiciaire est efficace dans la mesure où il ne laisse pas le terrain libre à un plaignant", mais il n'en demeure pas moins "que cela implique de prouver que les faits dénoncés à une personne dépositaire de l'autorité publique sont faux".
Mais la mère de Tristane Baron, Anne Mansouret, conseillère régionale Parti Socialiste en Haute Normandie, regrette d'avoir dissuadé sa fille et de l'avoir influencée pour qu'elle ne dépose pas plainte et dit comprendre sa démarche car elle a sous estimé le traumatisme que sa fille a subi en endurant le comportement et l'agression dont s'était rendu coupable, à son encontre, DSK, il y a de cela 8 ans, en 2003. Elle rajoute, également, que DSK devrait « se faire soigner, même si cela n'enlève rien à sa créativité politique.... c'est quelque chose de très préoccupant pour un homme avec autant de responsabilités... » Et, si je ne m'abuse, aucune plainte en diffamation n'est diligentée, à l'encontre d'Anne Mansouret, suite à cette interview sur les antennes de la station de radio RTL…
En outre, « François Hollande était au courant, il avait déconseillé à la mère de ma cliente de déposer plainte », accuse David Koubbi, l'avocat de la jeune femme. La mère avait alors convaincu sa fille de ne pas aller en justice. Mis en cause, François Hollande a, lui, assuré, le 20 mai 2011, n'avoir « jamais eu connaissance des faits de la gravité qui ont été évoqués » : « Les rumeurs, elles existaient mais je n'ai jamais conçu que mon rôle était de faire la police au sein du P.S.. » Son ancien directeur de cabinet Stéphane Le Foll, au même moment, raconte au journal « Mediapart » que Hollande avait appelé Tristane Banon : « Il l'a écoutée et a essayé de la rassurer. » Mais, selon Le Parisien, Le Foll a dit « n'avoir jamais eu à traiter cette affaire ».
Enfin, d'une part, « à la foire de Brive, en 2008, au moment de l'affaire Piroska Nagy », François Hollande était venu voir Tristane Banon, en lui disant qu'il pensait beaucoup à elle, - l'ayant appelé même une fois, en 2003 -, après les faits : « J'ai parlé de tout ça avec votre mère. J’espère que vous suivrez le conseil que je lui ai donné, à savoir de ne pas porter plainte. » et, d'autre part, Anne Mansouret, mère de Tristane et conseillère régionale P.S. de Haute-Normandie, a affirmé que des personnalités « au plus haut niveau » du Parti socialiste « étaient au courant » de l’agression dont sa fille aurait été victime en 2003. Parmi ces personnalités figurent notamment François Hollande, à l’époque premier secrétaire socialiste, et Laurent Fabius, élu de la même région. Elle signale également « s’être confiée » à Laurence Rossignol, une « amie » aujourd’hui secrétaire nationale du P.S. à l’environnement.
Ou cette élue montpelliéraine, une socialiste, qui se refuse à côtoyer DSK et à se trouver à ses côtés, fut-ce-t-il dans un repas... La présence de ce personnage devant être quelque peu désagréable et fort gênante, - interview de l'élue socialiste sur les antennes de FR3 -. Là non plus pas de plainte en diffamation ou en dénonciation calomnieuse de la part des avocats de DSK mais un silence coupable sur les dévolus de cette interview...
Ou encore cette journaliste qui a été « agressée » par Dominique Strauss-Kahn, en 2004, alors qu'elle couvrait la campagne des élections régionales en région parisienne : «Soudain c'est la cohue...je sens une main très intrusive...» D'après un témoin de la scène, « La journaliste s'est retournée, se préparant à mettre une claque à celui qui l'avait ainsi collée. Devant le visage qui lui faisait face, elle s'est arrêtée net, c'était Dominique Strauss-Kahn ! Il a alors lancé : Je vous ai offensé ? La journaliste s'est alors indignée : Ne recommencez jamais ça ! Pardonnez-moi s'est alors excusé DSK. »
Et dans l'affaire DSK-Piroska Nagy, où le témoignage de Piroska Nagy « ...Je pense que M. Strauss-Kahn a abusé de sa position dans sa façon de parvenir jusqu'à moi. Je vous ai expliqué en détail comment il m'a convoquée plusieurs fois pour en venir à me faire des suggestions inappropriées. [...] Je pense que M. Strauss-Kahn est un leader brillant, qui a une vision pour affronter la crise financière mondiale en cours. C'est également un homme agressif, bien qu'il soit charmant... Je crains que cet homme ait un problème pouvant le rendre peu adapté à la direction d'une institution où des femmes travaillent sous ses ordres. », un témoignage clair, net, précis et sans ambages, n'a pas été pris en compte...
Et pour preuve de l'omerta dont le Parti Socialiste fait preuve envers ses membres influents, référons-nous à Luc Ferry : Luc Ferry est philosophe et accessoirement un plus ou moins bon ministre de l’éducation nationale entre 2002 et 2004. Invité de l’émission « Le Grand Journal » sur Canal +, il a accusé un ancien ministre du gouvernement dans lequel il était, sans le nommer, « de s’être fait prendre dans des relations pédophiles au Maroc. » Pour être tout à fait exact, Luc Ferry dit que cet « ancien ministre s’est fait poisser à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons. » Et Luc Ferry de préciser, sans citer non plus le nom du chef de gouvernement concerné, « L'affaire m'a été racontée par les plus hautes autorités de l’État, en particulier par le Premier ministre », ce dont ce dit premier ministre a déclaré ne point savoir, tout comme l'a fait son ministre des affaires étrangères de l'époque...
Pour confirmer la véracité du dire de Luc Ferry, un ancien ministre se vendant tout seul, - qu'en a décidé la justice ,française sur les suites à donner à cet aveu spontané ? Seul le silence et l'oubli en résultent et nulle poursuite engagée à l'encontre de cet ancien ministre honorablement connu mais au comportement délictueux... Belle la justice en France... pour les politiques plus que véreux et licencieux... - bien qu'aucun nom n'ait été cité par le philosophe au cours de l'émission télévisuelle à laquelle il participait, s'est exprimé dans les colonnes du Figaro. Il s'est dit prêt à attaquer pénalement « ceux qui mettront son honneur en cause », et ce, après les sous-entendus et ambiguïtés de l'ancien ministre de l’Éducation. Et ce dit ministre a rajouté : « Je ne souhaite pas me mêler de ces histoires pour l'instant. Je m'exprimerai en temps et en heure... cette affaire est tristement banale. Seront poursuivis pénalement tous ceux - journaux et personnes - qui mettront mon honneur en cause. »
Quant à sa victime états-unienne... la puissance de l'argent pour faire taire la vérité... et il y a réussi, lui un HOMME BLANC de HAUTE LIGNEE, par l'entremise de ses avocats (il est vrai l'un d'entre eux recruté dernièrement époux de la procureure adjointe qui a démissionné après le rendu du verdict : DSK libéré sur parole ; En France une telle situation, « conflits d'intérêts », est un acte délictueux passible de poursuites judiciaires et emprisonnement), à porter le doute sur une NEGRESSE en l'accusant de toutes les vilenies... jusqu'à être une pute irrespectueuse.
Mais après avoir accablé la victime présumée avec des insipides mensonges, « la version de la jeune femme se trouve aujourd'hui renforcée par un nouvel élément. Les cartes magnétiques de l'hôtel ont parlé et corroborent, en partie du moins, le récit initial de la femme de chambre... » et DSK a été, sur les faux mensonges égrainés par le procureur, libéré sur parole... plus 6 millions de dollards de caution lui étant rendus... une pichenette et une pécadille assurant une location à 50.000 dollards mois la location d'une résidence de haut standing au prévenu... « qui permettra, en d'autres occasions et retour à la case départ, au Chat land ithyphalle prisonnier des bobettes, de se faufiler insidieusement, la porte entre ouverte, entre gigues et quasis, à travers une chatière, afin d'atteindre l'écu ou le divertissoire niché dans son écrin non consentant... »
Il est vrai qu'avec mon écrit, une plainte en diffamation peut être portée à mon encontre... mais là il faudra apporter des preuves tangibles et indéfectibles, des documents authentiques signés et attestés par un homme de justice patenté ou une personne dépositaire de l'autorité publiqueet non des dires rapportés pour déstabiliser les juges qui pourraient être en charge de l'affaire, prouvant que mon dire est mensonger...
Source : http://www.come4news.com/