sida, sidaventure, vih, vhc, info sida, forum sida, information sida, prevention sida, forum vih, t'chat sida, tchat sidaJustice : Egalité vous avez dit Egalité ?
En matière d'égalité judiciaire Le Figaro nous fait mieux comprendre l'émotion et les larmes de Bernard Tapie devant les députés
Celui-ci aurait consenti un gros (snif) sacrifice en acceptant de continuer à se loger à titre gracieux dans un petit hôtel particulier situé rue des Saints-Pères à Paris autrement appelé l'hôtel de Cavoye qui je vous le rappelle avait été placé sous hypothèque par le Crédit lyonnais.
Mais le sacrifice de Bernard a justement été d'entretenir cet immeuble, mieux de l'occupé... .
Le Crédit Lyonnais devrait le remercier, d'ailleurs il n'a pas procédé à son expulsion !
Le débat est donc de savoir si des intérêts devaient être calculés sur la valeur de l'hôtel particulier ou si, au contraire, ils devaient être retranchés au titre du «loyer».
?La question sera tranchée, le 4 novembre, lors de ce qui devrait être la dernière audience du tribunal arbitral qui, au titre des intérêts, accordera à Tapie une somme comprise entre 95 et 105 millions d'euros. Cette somme viendra s'ajouter aux 285 millions déjà accordés par la sentence arbitrale. Au bout du compte, après déductions des dettes et des frais, la somme lui revenant sera de plusieurs millions. «Entre 20 et 40», selon l'homme d'affaires, qui a promis de rendre le chiffre public. Les services du ministère de l'Économie évoquent quant à eux une somme de 30 millions, et Charles de Courson maintient son estimation de 130 millions.
Le plus beau dans l'Histoire c'est que le crédit lyonnais n'a effectivement même pas pu expulser Bernard Tapie de L'hôtel particulier de la rue des Saints-Pères et que celui-ci dit haut et fort que«Maintenant qu'il est définitivement à moi, je vais le vendre», disait le 12 septembre Bernard Tapie sur Europe 1.
Je me demande pourquoi les autres banques expulsent les étudiants qui leur rendent le service d'occuper leurs locaux vident ...elles devraient faire comme le crédit lyonnais avec Bernard Tapie ...les dédommager
Deuxième point concernant l'égalité et la justice mais Homme / Femme cette fois
J'ai lu sur l'internet d'Europe 1 qu'une femme a accouché début septembre à Rennes quelques heures seulement après avoir révélé sa grossesse au personnel pénitentiaire qui ne s'était aperçu de rien jusqu'à présent. Lundi, un juge l'a autorisée à garder son enfant avec elle en détention comme le prévoit la loi pour toutes les femmes emprisonnées.
Quitte à vous choquez mesdames je n'hésiterai pas à dire que cette décision me choque.
D'une part parce que je me demande si le personnel médical pénitenciaire est vraiment médical (cacher une grossesse à un proche passe encore...à un médecin cela relève soit de l'incompétence soit cela montre une fois de plus l'état dans lequel sont nos prisons)
Mais surtout ce qui me choque c'est la décision du juge.
Comme la loi le prévoit pour toutes les femmes détenues en France, celle qui a accouché début septembre d'une petite fille à la maison d'arrêt de Rennes a été autorisée à garder son enfant avec elle en prison et ce pendant 18 mois.
Une décision prise par le juge des enfants de Guingamp qui a estimé que le fait que cette détenue soit par ailleurs accusée d'infanticide ne constituait pas un risque suffisant.
Valérie Le Gall, déjà mère de deux enfants de 5 et 2 ans, avait été mise en examen le 26 mars dernier pour "homicide volontaire sur mineur de moins de quinze ans", après la découverte par son beau-père du corps congelé d'un nouveau-né de sexe féminin dans un congélateur de la ferme familiale près de Guingamp. Le mari, qui avait indiqué ne pas avoir décelé la grossesse, avait été mis hors de cause et laissé en liberté.
Pendant sa détention, la détenue "faisait l'objet d'un suivi médical régulier" et "l'examen médical d'entrée a bien eu lieu", selon l'administration pénitentiaire.
Le 3 septembre dernier, elle s'était pourtant plainte de douleurs abdominales avant d'affirmer qu'elle était enceinte. Quelques heures plus tard, cette femme soupçonnée d'infanticide sur un autre bébé avait accouché d'une petite fille. A sa sortie de la maternité, cette enfant a été prise en charge par la nurserie de la prison où sa mère vient la voir chaque matin.
L'enfant ayant un père, et des grands parents, je ne comprends pas la décision du juge. Pourquoi celui-ci n'a-t-il pas pris la décision de confier la garde de l'enfant au pére ou aux grand parents avec obligation de visite tous les mois par exemple !
Imaginez la situation inverse : Un pére qui vient de commettre un infanticide; qui a disons un bébé de 2 mois et deux enfants de 5 ans et 7 ans.
Le juge ordonnera t-il que le père puisse garder son enfant avec lui en prison en allant le voir chaque matin à la nurserie ?
A vous de répondre ?