Transformer les bien-portants en malades
L'heure d'été. Le principe de l'heure d'été n'est pas anodin. Chaque jour, on impose à des millions d'actifs de se lever une heure plus tôt. Alors que l'on sait très bien que, le soir, ces personnes continueront à se coucher aussi tard.
Une heure d'activité et de stress en plus pour une heure de sommeil en moins (la meilleur heure) voila une bonne et heureuse affaire qui, à la longue, ne peut que produire
des bons et "généreux" malades. Les malades sont source de PIB. Le PIB, c'est de la croissance. La croissance, c'est le pays qui s'enrichi. Quand le pays s'enrichit, c'est de l'argent pour ceux qui en ont besoin. Va sans dire, de l'argent pour les riches. Pour être pauvre, on n'a pas besoin d'argent.
Les maladies dites : "iatrogènes". En fait, ces maladies n'en sont pas. Ces maladies sont dues à des complications médicamenteuses. Un lit sur cinq d'hôpital serait occupé par cette catégorie de "malades". (Les mauvaises langues prétendent un lit sur quatre).
Les vaccinations Le vaccin contre l'hépatite B (encore une heureuse affaire !) Les toxines contenues dans le vaccin sont plus dangereuses que la maladie elle-même.
L'heureuse affaire : Si la maladie est guérissable, les conséquences du vaccin sont incurables.
Naturellement, les milliers d'infirmes à vie pour cause de vaccination imbécile sont des personnes qui avaient peu, ou aucune, chance de contracter la maladie.
Une ligne de discours.
Légaliser l'usage de la drogue et supprimer les prisons.
Légaliser l'usage de la drogue. (Discours porté par le Ministre de la Malsanté publique, lui même.)
Il n'est pas nécessaire d'expliquer que cette démarche aboutit à remplir les hôpitaux.
Supprimer les prisons. À première vue, la chose peut sembler excessive. Mais, la facilité est de considérer les grands criminels pour des malades.
Les professionnels de l'intoxication cérébrale, professionnels qui opèrent dans le milieu associatif et politique, utilisent les médias pour agiter l'idée qu'il faut déplacer les grands criminels de la prison vers les établissements spécialisés. (Par établissements spécialisés, il faut entendre hôpitaux psychiatriques.)
La nuance : - On entre dans un établissement spécialisé ;
- On sort d'un hôpital psychiatrique.
Ce que le discours ne dit pas : - Les conditions de détention en univers psychiatrique sont pires qu'en prison ;
- De plus, pour un grand criminel, le prix de journée en psychiatrie avoisine les 1200 euros par jour (Aide Sociale additionnée à la Dotation Globale) alors qu'en prison le coût journalier n'est estimé qu'à seulement 90 euros. (Une bonne affaire !)
À ce sujet, on doit aussi observer que la morale de l’abolition de la « peine de mort » repose sur une valeur humaine qui se traduit en chiffres monétaires.
La version moderne (et à grande échelle) du :
« Malade imaginaire »
(Le complot des blouses blanches et des soutanes)
AZT, un poison absolu pour lutter contre un virus fantôme.
Aussi appelé par les spécialistes :
"AZT, le Sida sur ordonnance". Il n'est pas utile d'expliquer la chose à des gens qui gagnent
à ne pas savoir. Néanmoins, il faut rappeler que l'AZT est reconnu pour être un poison absolu.
À ce titre, cette toxine que certains disent avoir été fabriquée, à l'origine, pour tuer les doryphores, a été interdite de commercialisation à usage médicamenteuse dès le début de sa fabrication.
Le Cartel de la pharmacie a contourné cette interdiction en faisant distribuer cette coûteuse toxine par le canal des hôpitaux
(2).
Ce que le discours officiel ne dit pas, c'est que toutes les personnes à qui les hôpitaux publics ont prescrit cette toxine médicamenteuse sont mortes de l'AZT (et non pas du "sida").
La morale est sauve !
Le dogme du virus sert les intérêts médicaux-religieux.Le SIDA ne cible que des croyants. (Des cerveaux morts)
Quand on croit à des dieux imaginaires, on croit pareillement à des virus imaginaires. Les uns comme les autres, sont tout aussi dangereux.
Le test de dépistage du SIDA n'est pas spécifique. (Au détail près qu'il ne cible que des croyants.)
Ce test réagit à de multiples toxines. Voire même, à des produits anodins.
Ce test n'est pas un test. Le test du sida n'est qu'un artifice qui abouti à faire croire à des gens en bonne santé qu'ils sont mourants et qu'ils doivent se soigner. Sachant que les symptômes de la "maladie" n'apparaîtront qu'après le début des soins (si début de soin, il y a).
Le SIDA (outil du Pouvoir religieux) exploite la croyance. Le Sida a permis de reprendre en main les habitudes sexuelles de la foule. Cela au profit de qui l'on devine.
Le virus, quant à lui, ne se transmet que par la "bave" des professionnels faisant profit du mensonge, journalistes, enseignants, associatifs et curés. (3)
Merci, le virus imaginaire. Une bonne affaire (En moyenne, 1000 euros par jour et par "malade".)