Amaroli - Urinotherapie, la thérapie par l’urine. Témoignages sida Urinothérapie - Amaroli pour se soigner du sida
Le Docteur G. K. Thakkar put voir de nombreux malades du sida qui, grâce à l'urine s'étaient guéris. Il écrit à ce sujet:
"Le principe scientifiquement simple qui explique le succés de cette thérapie contre le sida est probablement la prise des anticorps présents dans l'urine. En les absorbant, les patients reconstituent leur immunité. Je ne comprends pas pourquoi des scientifiques brillants ne parviennent pas à accepter ce phénomène.
Source: Urinothérapie du Dr Christian Tal Schaller
L'urine, contrairement à l'opinion de beaucoup de gens, n'est pas un poison mais du "sang filtré", chargé de substances vivantes et biologiquement actives.
Il n'y a aucune contre-indication à la prise d'amaroli, pas même les règles pour une femme ou une infection urinaire.
Amaroli est, avant tout, un dialogue avec son propre corps, un rituel de santé, une cérémonie d'émerveillement devant les forces d'auto-guérison de l'organisme humain.
L'urine n'est pas à proprement parler un médicament mais plutôt une information, qui signale les déséquilibres présents dans l'organisme.
En cas de traitement médical en cours:
Quelqu'un qui boit toute son urine risque de doubler la dose du médicament chimique qu'il consomme. Evidemment la parade est simple: il suffit de diminuer la quantité de médicaments au fur et à mesure que l'on augmente la quantité d'amaroli ingérée.
Ainsi la personne qui est sous traitement médical, il faut commencer par ne rien changer à sa médication. Tout en consommant un demi-verre d'urine chaque matin, on pratiquera une alimentation vivante et les autres moyens de santé. Ces mesures vont stimuler l'organisme à se dépolluer et à se régénérer. On attendra quelques jours, voire une à deux semaines, pour sentir le moment propice à une légère diminution de la dose du médicament ingéré. Si tout se passe bien, on augmentera la quantité d'amaroli à un puis deux verres par jour. On procédera ainsi par paliers successifs jusqu'à ce que l'organisme, revivifié et rééquilibré, puisse se passer complètement de la "béquille médicament".
Source: Urinothérapie du Dr Christian Tal Schaller
Des témoignagesSida 1 "Je ne lui ai pas plu du tout - assis sur le parquet, ricanant et me moquant d'elle et de son partenaire.
Après tout, qui prendrait au sérieux quelqu'un qui parle sans rire de boire sa propre urine pour se
guérir d'une maladie quelconque !
A l'époque, mon premier souci était de savoir comment j'allais faire face au diagnostic de sida et avec
quel niveau de "spiritualité" j'allais m'accommoder des lésions orales d'un sarcome de Kaposi qui était
censé s'étendre irrémédiablement à la totalité de mon corps. J'avais appris deux mois plus tôt que le
pronostic me donnait deux ans à vivre, davantage avec un peu de chance, et que je devais
commencer à penser sérieusement à mon testament...
Pour des raisons évidentes, j'acceptais mieux l'idée d'un usage externe de l'urine pour diverses
affections. Eczéma, furoncles, brûlures, coupures, infections, lésions dues aux orties, urticaire et
mycoses ne sont que quelques unes des affections qu'elle soulage ou éradique. J'ai toujours été un
partisan convaincu des remèdes à base de plantes et autres médecines douces et naturelles, de sorte
que les lavements, gargarismes, compresses à l'urine semblaient réveiller en moi quelque très ancien
secret primordial, profondément enfoui. Je me suis alors rappelé que mon père m’avait parlé d'un
immigré italien qui buvait chaque jour une tasse de son urine pendant sa pause à l'usine en affirmant
que c'était le meilleur remède pour venir à bout d'un sérieux ulcère d'estomac.
Puis je me souvins d'un article du magazine time (24 octobre 1977) sur l'ex-premier ministre Moraji
Desai, qui avait sidéré les participants à une réunion de l'association indienne contre la tuberculose
en leur déclarant que "la propre urine du malade" est le meilleur remède contre le cancer et la
cataracte que, par ce même moyen, il avait guéri son frère de la tuberculose; et qu'en effet, il buvait
un plein verre de sa propre urine "depuis cinq ou six ans".
Mon pied droit était alors complètement nécrosé. Depuis des mois, les médecins me prescrivaient
toutes sortes de crèmes et pommades pour lutter contre un redoutable cas de mycose circinée. Rien
n'y faisait. Après tout, la racine du problème était la défaillance du système immunitaire. Quand
Margie expliqua qu'elle était merveilleusement venue à bout d'une terrible infection vaginale en trois
jours, tout simplement par des douches vaginales de sa propre urine dans une solution de Golden
Seal, la mécanique se mit en marche. Ce fut, ce soir-là, la première fois depuis des mois que
l'insupportable démangeaison cessa de me rendre fou. J'ai véritablement dormi toute la nuit. L'arrêt
des applications d'urine entraînait immédiatement une régression de l'état de mon pied; j'ai donc
continué à m'arroser le pied tous les matins...
Non seulement la mycose disparut complètement au bout de quelques semaines, mais la peau
desséchée, craquelée et douloureuse de la plante du pied et autour de mes orteils avait totalement
changé de couleur et de texture ! Une nouvelle peau s'était formée, aussi douce que celle d'un bébé,
d'une belle couleur rose orangé. Je n'arrivais pas à croire que cette peau était la mienne ! Cela me
persuada que ce liquide produit par nos corps était un trésor et que je serais bien idiot de ne pas en
profiter.
J'ai alors entrepris avidement d'explorer le domaine de l'utilisation des liquides corporels et peu après,
j'ai décidé que recycler ma propre urine était réellement une forme inoffensive d'auto tolérance
reposant sur des bases qui ne différaient guère de celles de l'homéopathie.
Je suis alors passé à l'ingestion d'un quart de litre d'urine par jour. J'ai appris que l'urine du matin est
la plus riche et la plus efficace, car la relaxation du corps pendant la nuit favorise les processus
hormonaux et réparateurs qui prennent place pendant le sommeil. Au fil des sept mois qui suivirent,
les lésions du sarcome de Kaposi se résorbèrent peu à peu jusqu'à disparaître complètement ! Les
ulcérations aphteuses de la bouche qui me torturaient et me brûlaient pendant les repas n'ont jamais
réapparu. Avant d'entreprendre cette cure, j'avais tous les mois une poussée d'herpès génital. Je suis
heureux de signaler que l'urinothérapie a même entraîné une tolérance du virus de l'herpès dont
l'action, combinée à celle des virus Epstein-Barr (de la mononucléose infectieuse), Papilloma et
Cytomegalovirus, était vouée, à plus ou moins brève échéance, à me compliquer l'existence... Simple
question de temps... Je ne suis jamais senti mieux de toute ma vie et ne redoute plus la mort.
Ceux qui sont concernés d'une façon ou d'une autre par le sida doivent savoir que le traitement basé
sur leur propre urine, que ce soit par ingestion ou piqûres, semble stimuler le système immunitaire et
particulièrement, les cellules en T. Etre séropositif n'est pas obligatoirement une tragédie; la présence
d'anticorps de virus indique que l'organisme lutte et réagit contre l'antigène. Le recyclage des
anticorps spécifiques présents dans l'urine peut accroître l'efficacité du système immunitaire et aider
l'organisme à retrouver par se propres moyens l'équilibre compromis. Je suis convaincu que les
antibiotiques, les vaccins et leurs rappels, les sérums et autres inoculations ne font qu'exacerber les
déséquilibres du corps et gêner son aptitude naturelle à lutter pour gagner ses propres batailles.
Ma séropositivité aurait dû me valoir diverses infections, majeures ou mineures mais, depuis un an et
demi, je n'ai pas même contracté une grippe ni un simple rhume. Bien qu'il n'ait jamais été trop
affecté, mon dynamisme s'est en fait accru et j'ai maintenant besoin de moins de sommeil qu'au cours
des sept années ayant précédé la maladie.
Je crois profondément à l'adage holistique suivant lequel "ce qui ne peut être guéri par les moyens de
l'organisme ne peut pas l'être par des moyens qui lui sont extérieurs." Quelle démarche thérapeutique
pourrait bien être plus simple, plus holographique que les vibrations réelles de nos propres fluides
corporels ?" in :"Urine Therapy, Drinking from Thine Own Cistern", Quique Palladino, PWA Coalition
Bewsline, Num. 37, Octobre 1988, pp. 41-44, version abrégée par l'auteur M. Quique Palladino,
Etats-Unis
Sida 2 "Un ami m'a parlé de l'urinothérapie il y a plus de deux ans. J'ai immédiatement entrepris un jeûne de
quelques jours après lequel je me suis sentie beaucoup mieux. De plus, j'ai acquis beaucoup de
confiance en moi avec cette expérience; je me suis soudain rendu compte de l'énorme influence de
notre attitude sur notre santé et notre bien-être.
Je savais que j'étais séropositive, mais je ne pensais pas aux conséquences possibles. Puis j'ai
commencé à avoir des démangeaisons autour du vagin; mon docteur m'a déclaré que ce symptôme
était fréquent chez les séropositives. Il me donna une pommade, mais j'ai rapidement cessé de
l'utiliser. Je ne supportais pas l'idée de devoir dépendre d'une pommade. Je me suis dit que puisque
l'urine transitait dans ce secteur, peut-être atténuerait-elle les démangeaisons. Apparemment, cette
seule idée suffit - les démangeaisons disparurent rapidement.
Quelque temps après, j'ai commencé à souffrir de sinusite, un problème qui m'était depuis longtemps
familier. A cette époque, je ne buvais pas mon urine quotidiennement. En l'espace de quelques
semaines, la sinusite se transforma en une interminable mauvais rhume. Je ne parvenais pas à m'en
débarrasser et j'avais en permanence un terrible mal de tête. Mes remèdes homéopathiques restaient
sans aucun effet. J'ai donc cessé de les prendre et commencé à boire mon urine. Elle était très
foncée, à cette époque. Un ami me signala que c'était un signe d'élimination de vitamine B, et j'ai
commencé à prendre des vitamines B et C. Ce fut mon seul remède supplémentaire. J'ai utilisé mon
urine en gouttes dans le nez et complété le traitement par la méditation et des exercices respiratoires;
et après quelques temps, tous les symptômes disparurent.
Ce fut pour moi une période difficile. J'étais confrontée à mes peurs, en particulier à la peur de mourir
Mais petit à petit, je me suis rassurée. Je me sentais en paix, pleine de confiance, j'avais envers la vie
une attitude différente que j'entretenais par la méditation même si, naturellement, il m’arrivait parfois
de perdre la foi.
Six mois plus tard, des pustules qui évoquaient une allergie apparurent sous mes bras. Elles me
démangeaient terriblement et je les ai souvent ouvertes à force de les gratter, ce qui était très
douloureux. Quand j'ai commencé à les tamponner avec mon urine, les croûtes se sont refermées en
un temps record et les pustules ont disparu. Depuis, je recours à mon urine pour la moindre plaie ou
blessure et le résultat est toujours excellent. Je me masse également le visage et les boutons
disparaissent rapidement. Quand mes amis me demandent comment j'ai si bonne mine, je leur
réponds :"C'est grâce à mon urine".
J'ai aussi l'intention de faire faire une analyse de sang régulièrement pour en contrôler le nombre de
cellules en T et son éventuel changement.
Je fais confiance à l'urinothérapie sur la base de ce que j'ai lu et entendu, mais surtout sur la base de
ma propre expérience. Je m'aperçois qu'elle seule peut m'enseigner quelque chose, non pas en un
mois ou un an, mais sans doute au fil d'une plus longue période." Mme R.G., Hollande
Sida 3 "Je crois que cette méthode peut être d'un grand secours pour lutter contre le sida. J'ai vu des
malades se lancer dans l'urinothérapie en dépit de leurs difficultés, et ces expériences sont très
encourageantes. Il y a deux ans, une amie a consulté pour un ulcère à l'estomac et l'examen a révélé
un cas de sida très avancé. Selon ses médecins, son espérance de vie était de trois à six mois. Elle a
très mal réagi à l"AZT et n'a pu tolérer aucun autre médicament. Deux à quatre mois après avoir
commencé l'urinothérapie, les taches sur sa peau avaient disparu, ainsi que la candidose qui avait
rendu sa gorge complètement blanche. Elle avait retrouvé son énergie, probablement grâce à la
combinaison de l'urinothérapie et de remèdes à base de plantes qui renforcèrent sa résistance.
Aujourd'hui, deux ans plus tard, elle est parfaitement capable d'entretenir sa maison et de s'occuper
de son enfant. Certes, ces deux dernières années n'ont pas été faciles, en partie à cause du refus de
coopération des médecins. Ils n'ont cessé de lui répéter qu'étant donné son état général, sans l'AZT,
elle ne vivrait pas plus de six mois." M. E. J. P., Hollande
Sida 4 "Je suis séropositif et je me soigne par l'urinothérapie depuis trois mois. Ma fatigue et mes
étourdissements ont disparu au cours du premier mois. Je souffrais de violentes démangeaisons des
yeux. Quelques gouttes d'urine fraîche les firent cesser immédiatement. Si j'oublie un seul jour de
boire mon urine, je le paie le lendemain par une grande fatigue. Le gonflement de mes ganglions
lymphatiques s’est résorbé de moitié." in : Urine-Therapy: It May Sabe Your Life, Dr Beatrice Barnett,
Margate, Fla, 1989, p.22 M. B., Etats-Unis
Sida 5 "J'ai le sida et les parasites constituaient mon principal problème. Mes selles contenaient du pus, de
grandes quantités de levures et plusieurs parasites. Ils avaient complètement disparu lors de la
dernière analyse. Plus de pus, plus de parasites !" in : Urine-Therapy: It May Save Your Life, Dr
Beatrice Bartnett, Margate, Fla. 1089, p. 23 M. M., Etats-Unis
Sida 6 "Je suis atteint du sida et je recours à l'urinothérapie depuis deux mois et demi. Mon adénopathie a
disparu dans les quarante-huit heures qui ont suivi le début de mon traitement. J'avais un grave
problème d'acné dans le dos. Ma peau en a été débarrassée en cinq semaines. Mon énergie a
décuplé en quelques jours après que j'ai commencé à boire mon urine." in : Urine-Therapy: It May
Save Your Life, Dr Beatrice Barnett, Margate, Fla. 1989, p. 24 M. S., Etats Unis
Sida 7 "Mr S.: Le patient était séropositif et affecté de divers symptômes liés au sida, tels que mycoses
orales et anales, fatigue, yeux rouges et irrités, difficultés de mouvement. L'impression subjective du
patient, après avoir pratiqué l'urinothérapie pendant plusieurs mois, est maintenant qu'il est en bonne
santé. Les analyses de sang ne témoignent plus d'une présence du virus du sida. Le patient a repris
sans problème un programme de travail chargé, ayant retrouvé toute son énergie et sa vitalité
antérieures. (Je cite ce cas recommandant la plus grande prudence; cependant, j'ai entendu parler
d'expériences également positives avec l'urinothérapie aux Etats Unis.)" in Die Apotheke in uns, U. E.
Jasler, docteur en médecine, Jeidelberg, 1994 Cas exposé par le médecin suisse U. E. Hasler
Dim 10 Juin 2012 - 17:31 par Christian Cavalli